Un petit con qui travaille au Monde, et qui ressemble à un James Dean complexé, a qualifié Drzz, récemment, de site appartenant à la « fachosphère ».
Je ne lui en veux pas de ne pas avoir remarqué que chez Drzz, tous les auteurs, sans exception, dégueulent les régimes totalitaires fascistes, islamistes, nazis, communistes et philatélistes. Je ne peux pas lui en vouloir parce que, déjà à l’école, je me sentais beaucoup d’indulgence vis à vis de mes camarades qui avaient du mal à comprendre, qui faisaient de leur mieux mais qui, hélas, étaient limités.
Mais ce n’est pas pour cela que j’aime qu’on me traite de fasciste, d’extrémiste de droite, d’identitaire ou de populiste, même si je ne suis rien de tout cela et que j’en ris plus que j’en pleure.
Ces gentils qualificatifs suivent les recommandations de Staline : «lorsque tu débats avec un homme de droite, commence par le traiter de fasciste. Le temps qu'il passera à démontrer que ce n'est pas vrai, sera du temps en moins pour lui à argumenter sur le fond du problème ».
Donc j’aime qu’on me traite de fasciste. Je trouve qu’il est sain que les médias soient infestés d’idéologues révisionnistes pour qui informer consiste à exprimer leurs « nobles » idées plutôt que de témoigner des faits. Je trouve qu’il est bon que la police de la pensée soit ouverte 24h/24, et que les associations anti-racistes fassent procès sur procès pour tenter de nous museler. Car tout ceci prouve que nous disposons de la liberté de l’insolence et de la désobéissance.
Si leurs mécanismes de censure n’existaient pas, c’est que nous serions dans un régime totalitaire.
Comme dit Michel Garroté, si nous étions en Russie ou en Chine, avec ce que nous publions sur Drzz, nous serions déjà dans un cercueil, ou en prison. Mais nous vivons lui en Suisse, moi entre Israël et les Etats Unis, nous publions pour les francophones du monde et non pour les français et la loi française, Drzz est hébergé chez nous, dans les pays libres, et ce sont autant de crans de liberté.
Donc vous pouvez continuer à me traiter de fasciste ou d’extrême droite : je vais me préparer un petit café (espresso bien entendu) et je reviens.
Reproduction autorisée avec la mention suivante et le lien ci dessous :
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Drzz.fr
Je ne lui en veux pas de ne pas avoir remarqué que chez Drzz, tous les auteurs, sans exception, dégueulent les régimes totalitaires fascistes, islamistes, nazis, communistes et philatélistes. Je ne peux pas lui en vouloir parce que, déjà à l’école, je me sentais beaucoup d’indulgence vis à vis de mes camarades qui avaient du mal à comprendre, qui faisaient de leur mieux mais qui, hélas, étaient limités.
Mais ce n’est pas pour cela que j’aime qu’on me traite de fasciste, d’extrémiste de droite, d’identitaire ou de populiste, même si je ne suis rien de tout cela et que j’en ris plus que j’en pleure.
Ces gentils qualificatifs suivent les recommandations de Staline : «lorsque tu débats avec un homme de droite, commence par le traiter de fasciste. Le temps qu'il passera à démontrer que ce n'est pas vrai, sera du temps en moins pour lui à argumenter sur le fond du problème ».
Donc j’aime qu’on me traite de fasciste. Je trouve qu’il est sain que les médias soient infestés d’idéologues révisionnistes pour qui informer consiste à exprimer leurs « nobles » idées plutôt que de témoigner des faits. Je trouve qu’il est bon que la police de la pensée soit ouverte 24h/24, et que les associations anti-racistes fassent procès sur procès pour tenter de nous museler. Car tout ceci prouve que nous disposons de la liberté de l’insolence et de la désobéissance.
Si leurs mécanismes de censure n’existaient pas, c’est que nous serions dans un régime totalitaire.
Comme dit Michel Garroté, si nous étions en Russie ou en Chine, avec ce que nous publions sur Drzz, nous serions déjà dans un cercueil, ou en prison. Mais nous vivons lui en Suisse, moi entre Israël et les Etats Unis, nous publions pour les francophones du monde et non pour les français et la loi française, Drzz est hébergé chez nous, dans les pays libres, et ce sont autant de crans de liberté.
Donc vous pouvez continuer à me traiter de fasciste ou d’extrême droite : je vais me préparer un petit café (espresso bien entendu) et je reviens.
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© Jean-Patrick Grumberg pour www.Drzz.fr
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