lundi 21 septembre 2015

POEME DUN PIED NOIR INCONNU



Jadis j’ai dû m’enfuir de mon pays
Quand la France décida de lâcher l’Algérie
Et si avec le temps les plaies se sont fermées
Leurs cicatrices, elles, ne peuvent s’effacer.
Aussi pour mes enfants, je demande au Messie
Que jamais ils ne vivent une pareille tragédie.

Pourtant, lorsque je vois ces hordes de Magrébins
Envahir notre sol par n’importe quel moyen
Pour venir y chercher toute cette assistance
Qui n’existe plus chez eux depuis l’indépendance,
Quand je vois qu’ils acquièrent cette nationalité
Qu’ils ont pourtant reniée il y a quelques années

Je me pose une question qui me met mal à l’aise,
Combien de temps encore la France sera Française ?
Ils occupent tour à tour l’ensemble des quartiers
Où la police alors n’a plus le droit d’entrer,
Bien vite ils les transforment en ces fameux ghettos
Où ils pillent les commerces et brulent les autos.

Marseille est devenu une base d’Al-Quaïda
Et notre canebière le souk d’une casbah.
La banlieue parisienne n’est pas plus épargnée
Partout règnent le racket et l’insécurité.
Les seuls européens qui s’obstinent à rester
Doivent se barricader sitôt la nuit tombée.
Des cités tout entières leur sont abandonnées
Dans l’attente qu’ils obtiennent les clefs de l’Élysée.

Lorsque notre président, en quête de bulletins
Va leur rendre visite, la veille des scrutins
Ils bousculent sa voiture et crachent sur son costume
Et l’obligent à partir plus vite que de coutume.
Ils sifflent la Marseillaise au match de l’amitié
Et brandissent les drapeaux du pays invité.

Puisqu’ils peuvent posséder deux nationalités
Ils en changent à leur guise, suivant leurs intérêts
Pour les allocations, ce sont de vrais français,
Pour les obligations ils restent des étrangers.
Ils ne respectent qu’une seule loi celle des islamistes
Et suivent assidument la mode des intégristes,

Elles se coiffent du foulard, ils portent la barbouze
Et pavoisent leur logis aux couleurs des fellouzes
Depuis quelques années ils sembleraient vouloir
Que la France se décide à réécrire l’histoire.
On enseigne pour se faire à notre descendance
Que les pieds-noirs étaient des colons de la France

Qu’ils n’avaient pas de cœur et usaient d’un gourdin
Pour payer les salaires de chaque Magrébin.
Aujourd’hui les médias demandent à nos élus
Qu’une enquête soit faite sur ces moments vécus
Pour voir si notre armée a commis des bavures
Et condamner ceux qui pratiquaient la torture

Pour que ces terroristes veuillent leur divulguer
La liste des attentats qu’ils devaient perpétrer.
Vouloir faire des victimes de nos ex-assassins
C’est en sorte approuver les crimes et les larcins
Qu’ils ont commis jadis sur ces gens innocents
Qui voulaient conserver la terre de leurs parents.

Sommes-nous tous amnésiques pour avoir oublié
Combien les F.L.N. ont fait d’atrocités ?
Serions-nous insensibles à tous ces attentats ?
Qui ont été commis par ces vils fellaghas
Et devons-nous ce jour, pour des raisons d’état
Pardonner les tueries de leur chef Ben Bella !

La bombe de la Corniche, ou celle du Milk Bar
Et ces assassinats empreints d’actes barbares
Ces femmes étripées aux ventres empierrés
Tout près de leur fœtus qui était empalé.
Ces milliers de Harkis qui furent assassinés
Sur la place publique sans le moindre procès

Trahis et délaissés par le chef de la France.
Ils ont subi la mort dans d’atroces souffrances.
Ils furent même désarmés avant l’indépendance
Afin qu’ils n’opposent pas la moindre résistance
Aux couteaux des tueurs qui étaient impatients
De pouvoir leur donner le suprême châtiment.

Aurions-nous oublié la date du 5 Juillet 1962
Et les massacres commis après le cessez le feu ?
Ces centaines d’Oranais qui furent exécutés
Devant l’armée française restée les bras croisés !
En France, dans nos écoles, aucun livre d’histoire
Relate ces évènements vécus par les pieds noirs

On transforme le passé à la gloire des vainqueurs
Qui deviennent des martyrs à la place des tueurs
Oublier notre passé ou même le transformer
Serait une grave erreur qu’on pourrait regretter
Ne baissons pas la garde, redoublons de méfiance
Si nous ne voulons pas connaitre un jour en France

Une prochaine débâcle vers d’autres horizons
Ou vouloir accepter de changer de religion.
Ben Bella l’avait dit, après la prise d’Alger
« Nous devons remonter en France jusqu’à Poitiers ».
Hélas cette latitude est maintenant dépassée
Puisqu’aucun coin d’Europe ne se trouve épargné !

A moins d’un revirement rapide et énergique
La France deviendra vite république islamique
Par le nombre des naissances ils auront l’avantage
Qui leur fera gagner l’ensemble des suffrages
Ainsi sera mis fin à notre démocraties
Et la France à son tour deviendra colonie.

Alors sera troqué l’angélus des clochers
Par l’appel des imams en haut des minarets
Dès lors, pour survivre, de même que nos aïeuls,
Nous aurons à choisir = la valise ou le cercueil
Les exemples sont nombreux et faciles à citer
Sur toute la planète, nombreux sont les foyers

Où des familles entières furent exterminées
Pour le simple prétexte qu’elles avaient refusé
D’accepter les contraintes de ces jeunes républiques
Qui instaurent par la force la charia islamique.
Aussi la prochaine fois, lorsque vous serez appelés
Pour vous rendre aux urnes afin d’aller voter
Devenez l’électeur d’un second Charles Martel
Qui renverra chez eux, au fond de leur djébel

Ceux qui viennent chez nous pour y défier la France
En réclamant sans cesse encore plus d’assistance
Afin que vos enfants ne subissent jamais
La débâcle vécue par les pieds noirs Français
Le livre a peut-être été refermé, mais son histoire
Est restée gravée dans ma mémoire.

Un Français déraciné

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