samedi 12 mai 2012

POUR QUI SONNE LE GLAS ?..par José Castano.

« L’Occident n’a pas encore compris que les Blancs, dans un monde devenu trop petit pour ses habitants, sont maintenant une minorité et que la prolifération des autres races condamne notre race, ma race, irrémédiablement à l’extinction dans le siècle à venir, si nous nous en tenons à nos actuels principes moraux » (Jean Raspail)
Maurras disait que « la république », « c’est en France, le règne de l’étranger ». Les conséquences sont là d’une démographie que nous subissons, d’une décolonisation qui a réduit les pays du Tiers-monde à la misère et contraint le pauvre à s’exiler vers les pays riches pour y trouver du pain et de la sécurité… entraînant par là même l’insécurité et la déstabilisation de ces pays. Cependant, les hommes du Tiers-monde découvrent peu à peu qu’ils détiennent une arme terrible dont ils n’avaient jamais soupçonné l’existence. Leur force réside dans leur nombre et devant cette marée gigantesque, tout pliera un jour.
L’Occident atterré recevra alors la révélation de sa faiblesse et de son laxisme et sera balayé, submergé, rasé, anéanti comme un fétu emporté par une tempête. Partout montent déjà les clameurs des peuples abusés qui le menacent et le vouent à une mort certaine, rendant actuelle la prophétie émise par le président algérien Boumediene à la tribune de l’O.N.U : « Un jour, des millions d’hommes quitteront les partis méridionales pauvres du monde, pour faire irruption dans les espaces relativement accessibles de l’hémisphère Nord, à la recherche de leur propre survie. » Ces propos remontent à 1974. C’était hier. Mais c’est aujourd’hui qu’ils deviennent réalité sous nos yeux…
Nous avons dans l’Histoire des exemples qui montrent la décadence puis la destruction d’une civilisation par l’entrée massive de barbares en son sein. L’empire de Byzance et l’Empire Romain ont décliné puis disparu, victimes de ces invasions. L’entrée massive des palestiniens au Liban a fait de ce pays une terre de désolation. Cela devrait faire réfléchir nos idéologues partisans d’une société multiraciale.
Jamais la boutade de Maurras n’a été de plus d’actualité : « Quand Syracuse est prise, Archimède est égorgé, et tant pis pour le théorème ».
En 1962, le prétexte fallacieux invoqué pour l’abandon de l’Algérie était, selon les propres termes de De Gaulle « qu’elle coûtait plus chère qu’elle ne rapportait ». On a vu ce que cette indépendance entraîna pour la France de conséquences néfastes…
Aujourd’hui, nouvelle édition revue et corrigée par bon nombre de nos illustres « têtes pensantes ».
« L’Histoire, comme une idiote, mécaniquement se répète », disait Paul Morand. Rien n’est moins vrai car, comme en 1962, apparaissent les ambitions à court terme de gouvernements veules, d’hommes politiques, de chefs de partis aveuglés par de maigres illusions et d’usuriers aux aguets du bénéfice qu’ils réalisent en exploitant « l’antiracisme » à leur profit. Pour exemple, on estime à plus de trois millions d’euros, le produit de la vente des badges de SOS Racisme « Touche pas à mon pote ! », depuis leur création. Seul le prétexte a changé : Il s’agit désormais de « la lutte contre le nationalisme français » baptisé racisme.
C’est donc l’identité française qui est menacée au nom d’un cosmopolitisme qui a ses racines dans toutes les classes de la société et, force est de constater, qu’en période électorale, notamment, une littérature foisonnante et pullulante se développe dans une certaine presse, qui se propose d’une part de casser l’idée nationale et d’autre part d’utiliser ces masses flottantes d’immigrés comme une légion étrangère de la Révolution. Un machiavélisme féroce et irréfléchi préside à l’élaboration du grand crime qui se prépare. La vérité est altérée par des récits orientés à l’excès et par omission systématique de tout ce qui conviendrait le mieux de mettre en lumière, tout cela afin de convaincre l’opinion publique que vouloir sauvegarder l’identité de sa patrie et de la civilisation dont elle fut le creuset n’est rien d’autre que du racisme. Robert Menard, dans un livre : « La censure des bien-pensants » chez Albin Michel, dénonce cette force obscure et gauchisante, à contresens de l’esprit pluraliste dont la France et nous, le peuple, avons besoin.
Faut-il attribuer ce mal à l’acharnement que nous mettons entre Français, non seulement à nous entre-déchirer, mais même à donner un effet rétroactif à nos divisions du moment ? Ces causes se rendent-elles compte du mal qu’elles distillent autour d’elles ? Ne semblerait-il pas plutôt qu’elles aient été enrôlées au service d’une entreprise voulue, calculée, facilitée par ces divisions chroniques que la France traîne comme un boulet depuis des siècles ?
« La France est le seul pays du monde où, si vous ajoutez dix citoyens à dix autres, vous ne faites pas une addition, mais vingt divisions » écrivait Pierre Daninos dans « Les carnets du major Thompson ».
Il est certain toutefois que bon nombre de Français égarés par d’effrontés mensonges écouteraient la voix de la vérité et du bon sens si on prenait la peine de la leur faire entendre. Victor Hugo se plaisait à dire qu’« une calomnie dans les journaux c’est de l’herbe dans un pré. Cela pousse tout seul. Les journaux sont d’un beau vert ». Mais il appartient à tous ceux qui se réclament du monde libre de réagir. Rien n’est jamais achevé dans un temps qui se poursuit. La vérité –que bon nombre entrevoient déjà- et la justice mettent toujours longtemps à se lever sur le monde ; malheureusement quand elles sont enfin là, il est souvent trop tard !...
Et Charles Péguy de nous avertir à ce sujet : « Le triomphe des démagogies est passager, mais les ruines sont éternelles »…
Jaurès s’est écrié un jour : « Le courage c’est de chercher la vérité et de la dire, c’est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant qui passe ! »

Aujourd’hui, après des années de lutte, maints écrits, maintes interventions et conférences sur les dangers que nous encourons face à l’immigration massive et incontrôlée, à la montée du fondamentalisme islamique et à l’islamisation inéluctable de la France, j’ai conscience d’avoir dit la vérité, même si celle-ci a parfois choqué les adeptes d’une tolérance irréfléchie, stupide et suicidaire entraînant à mon endroit les pires insultes. « Dire la vérité est utile à celui à qui on la dit, mais désavantageux à ceux qui la disent, parce qu'ils se font haïr » soutenait Blaise Pascal... Cependant, pour avoir connu les affres du terrorisme, de la guerre civile, l’exode et l’exil, l’expérience du passé m’incite à conclure dans ce qui, aujourd’hui, est mon ultime article, que, comme en Algérie, la tactique, dite du « salami » est utilisée en France et il se trouve, toujours des responsables politiques de tous bords, des usuriers, ou simplement des opportunistes du « show biz » pour faire digérer chaque tranche à une opinion publique assoupie depuis des lustres. « Ce peuple que tu as trahi, il oubliera jusqu'à ton nom » écrivait le poète Arnulf Overland… Seulement, ces gens là seront, à leur tour, défenestrés et l’Histoire traînera leurs noms dans la fange. Mais ce sera une piètre consolation pour un peuple enchaîné.
 Jamais la prophétie de Lénine n’a été aussi véridique et sur le point de se réaliser : « L’Occident nous vendra la corde pour le pendre ».

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