Cela prouve s’il en était besoin que les musulmans ne sont pas, tous, des fous d’Allah. Alors, vous messieurs les intellectuels arabes, prenez vos plumes et vos crayons et dessinez nous la vie belle et prospère que nous espérons tant. Que revienne l’âge d’or des trois religions fêtant la vie comme elle ne l’a jamais été avec des rires et des chansons et que les tambours de l’inconscience cessent à tout jamais. Que chantent les nouveaux innocents, ces enfants au cœur d’or que les hommes continuent à violenter et que se taisent les clameurs du jugement dernier. Que se rebâtissent les églises, les mosquées et les synagogues et que disparaissent les fanatiques, les mécréants et les assassins. Que dans une grande farandole de bonheur, les êtres humains redeviennent des êtres humains avec le bonheur pour seul droit, seul devoir et seule ambition.
Que disparaisse la stupidité de ce monde de brutes et que la douceur trouve enfin sa place dans le concert des nations.
Faire la guerre. Pour qui et pour quoi ? Les hommes sont-ils, donc, tous fous ? Trouvez- moi une raison de tuer une personne que vous ne connaissez même pas ! Expliquez-moi pour quelle raison tenir un fusil, jeter une grenade, tuer des hommes, des femmes, des enfants?
Une grand mère douce de tendresse pour ses petits enfants, un ami au regard sincère qui vous tient la main sur un lit d’hôpital, un inconnu qui vous croise dans la rue en vous disant simplement bonjour, un maçon qui chante en travaillant sur un échafaudage ou un pêcheur, le visage buriné par le vent et le sel marin, exténué par une nuit de tempête mais heureux de rentrer chez lui, les cales remplies de poissons, ce sont des images d’une vie, plus respectable que la mort dessinée à chaque instant par des hommes qui ne méritent même pas les larmes de sang que versent leurs mamans.
Eternellement optimiste, je veux l’être comme je veux être un utopiste invétéré dans un monde qui ne crache, par ses médias, que des images de feu et de mort.
Je ne suis qu’un pauvre bougre pied noir né en Algérie, juif jusqu’au bout des ongles, mais qui espère en une vie harmonieuse avec les Arabes, mon autre famille auprès de laquelle je me sens si proche par tout ce qui nous rassemble et nous ressemble, par la couleur des yeux, des cheveux, de la peau si mate qu’elle se rit du soleil généreux d’Algérie ou d’ailleurs, de la façon de parler avec des mots coincés entre l’orient et l’occident et un accent qui chante tous les soleils de la méditerranée. Oui, je me sens proche de ce musulman d’Algérie qui partageait sa kesrah avec mon beignet italien, que je dribblais au football de mon quartier et qui transpirait la même sueur au soleil de ma jeunesse. Je me sens proche de la misère que d’autres lui ont léguée, perdu entre sa destinée et le respect des traditions familiales qui sont très proches de mon judaïsme oriental. Oui, je me sens proche de mon enfance, de ma jeunesse et de ma communauté sépharade d’Algérie mais je me sens également très proche de mes amitiés musulmanes car nous partagions des odeurs entêtantes, des plats aux mille épices, un langage gestuel et une sentimentalité à fleur de peau, de la musique judéo-orientale et des souvenirs des gens de ce pays.
Une grand mère douce de tendresse pour ses petits enfants, un ami au regard sincère qui vous tient la main sur un lit d’hôpital, un inconnu qui vous croise dans la rue en vous disant simplement bonjour, un maçon qui chante en travaillant sur un échafaudage ou un pêcheur, le visage buriné par le vent et le sel marin, exténué par une nuit de tempête mais heureux de rentrer chez lui, les cales remplies de poissons, ce sont des images d’une vie, plus respectable que la mort dessinée à chaque instant par des hommes qui ne méritent même pas les larmes de sang que versent leurs mamans.
Eternellement optimiste, je veux l’être comme je veux être un utopiste invétéré dans un monde qui ne crache, par ses médias, que des images de feu et de mort.
Je ne suis qu’un pauvre bougre pied noir né en Algérie, juif jusqu’au bout des ongles, mais qui espère en une vie harmonieuse avec les Arabes, mon autre famille auprès de laquelle je me sens si proche par tout ce qui nous rassemble et nous ressemble, par la couleur des yeux, des cheveux, de la peau si mate qu’elle se rit du soleil généreux d’Algérie ou d’ailleurs, de la façon de parler avec des mots coincés entre l’orient et l’occident et un accent qui chante tous les soleils de la méditerranée. Oui, je me sens proche de ce musulman d’Algérie qui partageait sa kesrah avec mon beignet italien, que je dribblais au football de mon quartier et qui transpirait la même sueur au soleil de ma jeunesse. Je me sens proche de la misère que d’autres lui ont léguée, perdu entre sa destinée et le respect des traditions familiales qui sont très proches de mon judaïsme oriental. Oui, je me sens proche de mon enfance, de ma jeunesse et de ma communauté sépharade d’Algérie mais je me sens également très proche de mes amitiés musulmanes car nous partagions des odeurs entêtantes, des plats aux mille épices, un langage gestuel et une sentimentalité à fleur de peau, de la musique judéo-orientale et des souvenirs des gens de ce pays.
Si le fanatisme des islamistes est éradiqué, alors tout sera possible. Mais tant de malades se réclament de la barbarie, tant de musulmans crient leur haine de l’occident sans que le monde libre ne réagisse, tant de mansuétude accompagne toute critique de l’Islam que les islamistes me semblent avoir encore de beaux jours devant leurs campagnes de dénigrement et leurs bombes inhumaines.
C'est la raison pour laquelle, tout ralliement à la défense de l’occident est un acte de salubrité publique. Mettons de côté le racisme imbécile des anti-arabe, des anti-juif, des anti-sémite, des anti-blanc, des anti-tout et considérons seulement la sauvegarde de l’occident.
Ecoutons Brigitte Gabriel, journaliste chrétienne libanaise, Fondatrice de American Congress for Truth.
« J’ai grandi au liban et on m’a enseigné que les juifs, c’était le Mal, Israël le diable et que nous n’aurons la paix au Moyen Orient que le jour où les juifs seraient morts, engloutis par la mer. Quand les palestiniens et les musulmans du Liban ont déclaré leur jihad contre les chrétiens en 1975, ils ont commencé à les massacrer. Ce sont les israéliens qui nous ont sauvés du Liban. .......des dizaines de blessés, des Palestiniens, des Libanais et des soldats Israéliens jonchaient le sol. On soignait les blessés en fonction de la gravité des blessures, ma mère avant un soldat israélien, étendu près d'elle. Ils ne tenaient compte ni de l'identité ni de la religion du patient, ils ne tenaient compte que de la blessure à soigner, et c'était nouveau pour moi !
J'ai passé 22 jours dans cet hôpital et ces 22 jours ont changé toute ma vie et toute la vision que j'avais du monde extérieur, que je ne connaissais qu'à travers les médias libanais. J'ai réalisé que mon gouvernement m'avait "vendu" des mensonges grossiers sur les Juifs et sur Israël. J'ai réalisé aussi que si j'avais été une Juive au milieu d'un hôpital arabe, j'aurais été lynchée et jetée dehors au milieu des cris de joie et de "Allahou Aqbar" (allah est grand)......., ......Comment ne pas comparer cette mère à côté de son fils unique au visage déformé par une explosion, capable d'aimer son propre ennemi, et ces mères musulmanes qui envoient leurs enfants se faire exploser en pièces, juste pour tuer des "infidèles"…
La différence entre le monde arabe et Israël est une différence de valeurs et de caractère. Nous sommes devant un contraste entre la barbarie et la civilisation, de la dictature face à la démocratie, du Mal contre le Bien..............
On attribue les attentats suicide au désespoir de l'occupation. Ceci est un leurre. Je vous rappelle que la première attaque terroriste commise par des Arabes contre des Juifs en Israël a eu lieu 10 semaines avant la déclaration d'indépendance. Elle a eu lieu un dimanche matin, le 22 février 1948, anticipant cette indépendance. Trois camions piégés ont explosé dans la rue Ben Yéhouda à Jérusalem et 54 personnes sont mortes et il y eut des centaines de blessés. »
La différence entre le monde arabe et Israël est une différence de valeurs et de caractère. Nous sommes devant un contraste entre la barbarie et la civilisation, de la dictature face à la démocratie, du Mal contre le Bien..............
On attribue les attentats suicide au désespoir de l'occupation. Ceci est un leurre. Je vous rappelle que la première attaque terroriste commise par des Arabes contre des Juifs en Israël a eu lieu 10 semaines avant la déclaration d'indépendance. Elle a eu lieu un dimanche matin, le 22 février 1948, anticipant cette indépendance. Trois camions piégés ont explosé dans la rue Ben Yéhouda à Jérusalem et 54 personnes sont mortes et il y eut des centaines de blessés. »
Toute accusation du fanatisme islamique, étayée par des preuves irréfutables, est à prendre en considération dans le dossier à charge que les défenseurs du monde libre déploient pour contrecarrer l’avancée des fous d’Allah.
"Il ne sommeille ni ne dort, celui qui garde Israël", chantait Walid, l'ancien terroriste devant une foule d'étudiants à l'Université de Toronto.
A SUIVRE..........
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire