Roland Giraud est un acteur qui officie aussi bien au cinéma, à la télévision qu'au théâtre.
Né à Rabat au Maroc le 14 février 1942, il était le voisin dit-on de l'écrivain français Albert Camus. De retour en France, c'est dans le Sud-Ouest qu'il grandit. Il vécut à Montauban et connaît bien les villes de Toulouse et Périgueux.
A 19 ans, Roland Giraud arrive à Paris avec l'idée en tête de devenir choriste au Châtelet mais très rapidement, c'est la comédie qui devient son nouveau centre d'intérêt. Pour apprendre son métier d'acteur, il décide de prendre des cours chez Yves Furet où il fait la rencontre de Michel Sardou et de Michel Fugain, qui sont encore aujourd'hui ses amis proches. Avant de travailler pour Coluche en 1971 et d'entrer dans la troupe du Splendid, ce qui lui permet par la suite de jouer au cinéma dans de nombreuses comédies cultes comme Les bronzés font du ski, il multiplie les petits boulots. Travaillant d'arrache-pied, il occupe les fonctions de monteur, décorateur ou encore luminariste.
Dans les années 1980, Roland Giraud est à l'affiche de nombreux films à succès, à commencer par Papy fait de la résistance (1983), Trois hommes et un couffin (1985), Tant qu'il y aura des femmes (1987), Sans peur et sans reproche (1988), etc. Si dans les années 1990 et 2000, il se fait plus discret au cinéma, Roland Giraud n'en demeure pas moins très actif, en jouant dans des téléfilms et au théâtre qu'il affectionne plus particulièrement. Il monte sur les planches dans Black Mélo (1988), Sans rancune (1992), Hypothèque (2002), Impair et pair (2003), Avis de tempête (2005) ou encore Délit de fuite (2006).
Côté vie privée, Roland Giraud épouse l'actrice Maaïke Jansen en 1966. Elle est originaire d'une famille protestante et sa ferveur religieuse ne manque pas d'impressionner Roland Giraud qui n'est pas insensible, depuis déjà un certain temps, "au message du Christ". Si sa mère était catholique, son père, lui, est athée, ce qui ne l'empêche pas de se faire baptiser à 26 ans (1968). "La foi de mon épouse est plus forte, plus active que la mienne. Sa confiance en Dieu est totale", confie-t-il au magazine Le Pèlerin lors d'une interview.
Et, c'est peut-être dans la foi que l'acteur trouve la force de surmonter le drame qui a touché sa famille le 9 décembre 2004. En effet, l'enfant unique du couple, Géraldine (36 ans), et son amie Katia Lherbier sont retrouvées mortes au fond d'un puisard. Elles ont toutes les deux été assassinées. L'acteur était très proche de sa fille, qu'il avait au téléphone plusieurs fois par jour.
Roland Giraud est anéanti par cette découverte, mais il décide de monter sur scène le soir même, au Théâtre des Variétés à Paris, où il donne une représentation de la pièce Avis de tempête. Il expliquera plus tard que jouer était, pour lui, le seul moyen de survivre. Et, il précise que s'il ne s'était pas produit ce soir-là, il aurait été incapable de le refaire un jour.
Depuis, Roland Giraud s'est également lancé dans la chanson. Il a notamment sorti un titre intitulé Là-haut dans lequel il dit : "J'habille ton corps de mes prières/(...)/ Car nos hier ne me quittent plus".
Né à Rabat au Maroc le 14 février 1942, il était le voisin dit-on de l'écrivain français Albert Camus. De retour en France, c'est dans le Sud-Ouest qu'il grandit. Il vécut à Montauban et connaît bien les villes de Toulouse et Périgueux.
A 19 ans, Roland Giraud arrive à Paris avec l'idée en tête de devenir choriste au Châtelet mais très rapidement, c'est la comédie qui devient son nouveau centre d'intérêt. Pour apprendre son métier d'acteur, il décide de prendre des cours chez Yves Furet où il fait la rencontre de Michel Sardou et de Michel Fugain, qui sont encore aujourd'hui ses amis proches. Avant de travailler pour Coluche en 1971 et d'entrer dans la troupe du Splendid, ce qui lui permet par la suite de jouer au cinéma dans de nombreuses comédies cultes comme Les bronzés font du ski, il multiplie les petits boulots. Travaillant d'arrache-pied, il occupe les fonctions de monteur, décorateur ou encore luminariste.
Dans les années 1980, Roland Giraud est à l'affiche de nombreux films à succès, à commencer par Papy fait de la résistance (1983), Trois hommes et un couffin (1985), Tant qu'il y aura des femmes (1987), Sans peur et sans reproche (1988), etc. Si dans les années 1990 et 2000, il se fait plus discret au cinéma, Roland Giraud n'en demeure pas moins très actif, en jouant dans des téléfilms et au théâtre qu'il affectionne plus particulièrement. Il monte sur les planches dans Black Mélo (1988), Sans rancune (1992), Hypothèque (2002), Impair et pair (2003), Avis de tempête (2005) ou encore Délit de fuite (2006).
Côté vie privée, Roland Giraud épouse l'actrice Maaïke Jansen en 1966. Elle est originaire d'une famille protestante et sa ferveur religieuse ne manque pas d'impressionner Roland Giraud qui n'est pas insensible, depuis déjà un certain temps, "au message du Christ". Si sa mère était catholique, son père, lui, est athée, ce qui ne l'empêche pas de se faire baptiser à 26 ans (1968). "La foi de mon épouse est plus forte, plus active que la mienne. Sa confiance en Dieu est totale", confie-t-il au magazine Le Pèlerin lors d'une interview.
Et, c'est peut-être dans la foi que l'acteur trouve la force de surmonter le drame qui a touché sa famille le 9 décembre 2004. En effet, l'enfant unique du couple, Géraldine (36 ans), et son amie Katia Lherbier sont retrouvées mortes au fond d'un puisard. Elles ont toutes les deux été assassinées. L'acteur était très proche de sa fille, qu'il avait au téléphone plusieurs fois par jour.
Roland Giraud est anéanti par cette découverte, mais il décide de monter sur scène le soir même, au Théâtre des Variétés à Paris, où il donne une représentation de la pièce Avis de tempête. Il expliquera plus tard que jouer était, pour lui, le seul moyen de survivre. Et, il précise que s'il ne s'était pas produit ce soir-là, il aurait été incapable de le refaire un jour.
Depuis, Roland Giraud s'est également lancé dans la chanson. Il a notamment sorti un titre intitulé Là-haut dans lequel il dit : "J'habille ton corps de mes prières/(...)/ Car nos hier ne me quittent plus".
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