Mauricette Lluillier (connue sous le nom de Marie-José)
Née à Oran
Décédée le 4 février 2002 à Paris
Née d'un père français et d'une mère espagnole, elle arrive à Paris en 1937. Elle y suit des cours de chant au Conservatoire. Arrivée en France en 1937, elle rencontre Michel Simon qui l'engage sur le tournage de "Naples au baiser de feu" (Augusto Genina, 1937), dans lequel elle a pour partenaires Viviane Romance, Tino Rossi et Michel Simon. En 1939, elle est à l'affiche de trois films : Circonstances atténuantes (Jean Boyer, avec Arletty, Michel Simon, Andrex...), Ils étaient neuf célibataires (Sacha Guitry) et Rappel immédiat (Léon Mathot). La même année, elle
débute une carrière d'interprète et enregistre "Un avion tout blanc" (RobertMalleron/Joëguy). En juin 1941, elle grave "Etoile de Rio", chanson tirée du film Stern von Rio de Karl Anton (1940), et "Le Paradis perdu" du film éponyme d'Abel Gance (1940).
Née à Oran
Décédée le 4 février 2002 à Paris
Née d'un père français et d'une mère espagnole, elle arrive à Paris en 1937. Elle y suit des cours de chant au Conservatoire. Arrivée en France en 1937, elle rencontre Michel Simon qui l'engage sur le tournage de "Naples au baiser de feu" (Augusto Genina, 1937), dans lequel elle a pour partenaires Viviane Romance, Tino Rossi et Michel Simon. En 1939, elle est à l'affiche de trois films : Circonstances atténuantes (Jean Boyer, avec Arletty, Michel Simon, Andrex...), Ils étaient neuf célibataires (Sacha Guitry) et Rappel immédiat (Léon Mathot). La même année, elle
débute une carrière d'interprète et enregistre "Un avion tout blanc" (RobertMalleron/Joëguy). En juin 1941, elle grave "Etoile de Rio", chanson tirée du film Stern von Rio de Karl Anton (1940), et "Le Paradis perdu" du film éponyme d'Abel Gance (1940).
En décembre 1941, lors d'un gala à la salle Pleyel, elle crée "Le bar de l'escadrille" (Roland
Tessier/Jacques Simonot), qu'elle enregistre en mars 1942, et interprète à Radio-Paris en mai suivant. En septembre 1942, elle grave "Les fleurs sont des mots d'amour", du film "La Fausse maîtresse" (André Cayatte, 1942), interprétée à l'écran par Danielle Darrieux. En juin 1943, elle enregistre la version féminine de "Jim !" (la version masculine est interprétée par Clément Duhour), et "Un peu d'amour... un peu d'espoir" (Maurice Vandair/René Cloerec), qu'elle chante dans le film "Douce" (Claude Autant-Lara, 1943).
Tessier/Jacques Simonot), qu'elle enregistre en mars 1942, et interprète à Radio-Paris en mai suivant. En septembre 1942, elle grave "Les fleurs sont des mots d'amour", du film "La Fausse maîtresse" (André Cayatte, 1942), interprétée à l'écran par Danielle Darrieux. En juin 1943, elle enregistre la version féminine de "Jim !" (la version masculine est interprétée par Clément Duhour), et "Un peu d'amour... un peu d'espoir" (Maurice Vandair/René Cloerec), qu'elle chante dans le film "Douce" (Claude Autant-Lara, 1943).
En 1944, dans Les Caves du Majestic (Richard Pottier), elle tient une nouvelle fois à l'écran le
rôle d'une chanteuse (tout comme dans 56, rue Pigalle de Willy Rozier en 1948).
rôle d'une chanteuse (tout comme dans 56, rue Pigalle de Willy Rozier en 1948).
A partir de 1945, son répertoire s'oriente vers les chansons d'origine ou d'inspirations sudaméricaines "Amor, amor", "Besame mucho"... et enregistrera quelque 300 disques d'inspiration latine qui lui vaudront le surnom de "reine du tango".Avec "Impossible", enregistrée en 1947, elle est consacrée "reine du tango".
Merci de nous rappeler cette chanteuse de cette belle époque que j'aurais bien aimé vivre bien que je sois né en 1945. C'était nos vertes années. Merci de votre site internet qui ravive les souvenirs enfouis.....
RépondreSupprimerAmicalement,
JPGuyot, Paris