Dans cette nouvelle guerre de religion basée sur le fanatisme, le terrorisme et la terreur, les « fous d’Allah »
partent désormais à la conquête du monde libre avec au bout du voyage
la mort qu’ils recherchent. Leur objectif est clair : Rétablir le
califat en usant d’un argument de poids : La charia !
En vous priant de bien vouloir prendre connaissance de la préface de cet ouvrage.
Bien cordialement
José CASTANO
PRÉFACE
« Continuez
à allumer des bougies, à faire des dessins, à vous câliner, à
fanfaronner avec des « même pas peur ! », à creuser le gouffre de la
niaiserie avec des « Je suis Charlie », « Je suis Paris », « Je suis
Bruxelles »… Non ! Je ne suis pas une ville ! Je suis en guerre !... Et
quand on est en guerre, on ne fait pas des bisous et des câlins devant
la caméra de BFM TV en guise de réaction aux attentats… Quand je vois la
chef de la diplomatie européenne Federica Mogherini, pleurnicher lors
d’une conférence de presse, j’ai envie de hurler : « Virez-moi cette
conasse et mettez-moi une Margaret Thatcher ou une Golda Meir ! »… Quand
allez-vous cesser d’être dans le pathos dégoulinant, pour réagir en
véritables guerriers impitoyables ?... Continuez à chouiner, en
attendant, les islamistes creusent vos tombes. »
(Myriam Ibn Arabi, professeur de français à Arcachon, franco-marocaine, de culture musulmane, qui lutte contre l'obscurantisme islamique)
On a prêté, à tort, à Malraux la phrase suivante : « Le XXIème siècle sera religieux ou il ne sera pas
». Si l’on ne connaît le véritable auteur de ces mots, ils reflètent
cependant avec une acuité saisissante, le changement brutal qui s’est
opéré depuis un demi-siècle dans les mentalités et les modes de vie du
monde oriental.
Durant toutes ces années, s’est substituée, subrepticement, à une idéologie usée et corrompue : Le communisme, une idéologie tout aussi délétère : L’islamisme… comme si un vide devait être comblé. C’est ainsi que par analogie, une nouvelle guerre de religion (surnommée « le communisme du 21ème siècle), a éclaté et, cette fois, à l’échelle planétaire.
« Nous
avons construit des outils pour dénoncer le soviétisme et le nazisme,
mais on peine à analyser le phénomène de l’islamisme alors qu’il n’est
pas si différent ». Cette voix qui crie dans le désert est celle de l’auteur algérien de best-sellers, Boualem Sansal.
Un
peu partout sur la planète -notamment au Moyen-Orient- les Islamistes
massacrent les peuples avides de liberté dans une orgie de violence...
Que
ce soit en France, en Angleterre, en Espagne en Belgique ou aux USA -là
où le terrorisme a frappé le plus ignoblement- on retrouve également
ces mêmes scènes d’horreur visant à foudroyer le monde occidental. Et
ces tueries à grande échelle, ce déchaînement sans pitié d'un islam
renaissant voulant dominer le monde ont eu leur source, en Algérie, dès
le 1er Novembre 1954 par l’insurrection armée généralisée et
les massacres qui s’ensuivirent durant près de huit années dans une
apathie méprisante du peuple français et de l’Occident.
Si d'aucuns -réfractaires aux bienfaits de la colonisation française- persistent à ne vouloir considérer que cette « guerre sainte » a réellement pris naissance à cette date en Algérie, depuis un demi siècle elle se déroule désormais (naturellement) en France ou contre la France, partout où flottent ses couleurs...
L'histoire
n'est pas une éprouvette où il faudrait mettre les mêmes corps en
présence, les mêmes catalyseurs et où il faudrait reproduire les mêmes
conditions physico-chimiques pour avoir la même réaction et les mêmes
produits. Son étude permet toutefois d'avertir les chefs politiques et
militaires sur la tournure que peuvent prendre les événements lorsque
certaines conditions sont réunies.
Une
évidence s’impose : Le terrorisme islamiste et son cortège de barbarie
inhumaine auxquels nous sommes confrontés depuis une trentaine d’années
ressemblent à s’y méprendre à ceux du FLN algérien. Et bien que ces attentats se soient toujours réclamés du « djihad », il était de bon ton de ne pas le remarquer parce qu’il était impensable pour nos bien-pensants d’en dire la provenance…
Ce n’était qu’une « petite guéguerre » où les protagonistes « exprimaient leur mal être »…
Pas de quoi s’inquiéter !… Il ne fallait surtout pas affoler
l’opinion ! Au besoin, la chloroformer et la faire se tromper de cible…
sauf qu’aujourd’hui, nous mesurons avec stupéfaction le prix humain de
cette mauvaise vision politico-médiatique qui a livré les Français en
pâture à l’islamisme et à son fanatisme.
D’un
monde judéo-chrétien, nous passons à un monde musulman qui est à
l’opposé de l’esprit français, de ses mœurs, de ses coutumes, mais qui
veut par la force et le crime imposer son idéologie religieuse.
Tout cela porte un nom : djihad!... guerre sainte!... guerre révolutionnaire, odieuse, cruelle, qui n'en est qu'à ses prémices, visant à disloquer le monde libre.
L'objectif
des islamistes : la victoire d’un totalitarisme qui ne diffère en rien
du communisme et du nazisme en imposant par la terreur, la charia -la loi islamique- son cortège d'intolérance, de fanatisme et de barbarie.
Pour
la seule année 2015, 250 morts, victimes du terrorisme, ont été
dénombrés en France et entre 2000 et 2015, 28 146 attaques terroristes
mortelles ont été perpétrées par des musulmans de par le monde. Et le
pire est à venir... 2016 battra tous les records !
Un
constat s’impose… Après chaque tuerie, il y a d’abord eu la stupeur,
l’émotion, le chagrin, les larmes, la compassion, la solidarité, la
nausée, la colère…
Après
le massacre du Bataclan, les Français ont allumé des bougies, déposé
des fleurs et ont pleuré sans pour autant réclamer de compte à leurs
gouvernants qui, à l’instar du « plus illustre d’entre eux », se félicitent de leur bilan dans un optimisme béat dénué de réalité…
Après
le carnage de Nice, les Français, soumis, ont recommencé à allumer des
bougies, déposer des fleurs, pleurer, refouler leur rage… sans, pour
autant, réclamer de comptes à ceux qui, dans le même temps, après nous
avoir imposé de légitimer l’islam, religion de « paix et d’amour », déversaient
à profusion devant les caméras, leurs larmoyantes jérémiades et leurs
discours lénifiants d’une fadeur à donner la nausée…
Pourtant,
cette colère des Français ne s’est jamais véritablement exprimée…
hormis l’accueil houleux réservé, à Nice, à Manuel Valls. Face à tant de
barbarie mais aussi à tant d’inertie, d’incurie et de médiocrité de la
part de gouvernants frileux, gavés aux « droits de l’homme » et
imprégnés d’idéologie antiraciste, cette colère aurait dû se manifester
au niveau national... non pas la colère aveugle, mais la juste colère…
Mais
combien d’autres massacres devrons-nous encore subir, combien d’autres
morts devrons-nous encore pleurer avant de prendre réellement conscience
que nous sommes en guerre ?... Avant que l’on désigne clairement
l’ennemi ? Refuser de répondre à une guerre ouvertement déclarée
équivaut à une capitulation !
Nos
gouvernants sont-ils insensibles à ce point à la douleur humaine pour
se complaire dans leur déni de réalité sur les causes et l’extension de
la barbarie islamiste ? Pour taire ce qui apparaît comme une évidence ?
N’y a-t-il pas là une sorte de mépris à l’égard des victimes et de leurs
familles ?
« Nous sommes en guerre ! » clament à tout va Hollande, Valls et Cazeneuve… Dans ce cas, que ne désignent-ils pas clairement l’ennemi ?… Et celui-ci, c’est l’islam ! C’est lui –et lui seul- qui légitime les terroristes qui égorgent, décapitent, massacrent et se font exploser parmi les innocents.
Il
est temps que le peuple français prenne en main son destin et exprime
sa colère… Il est temps de sanctionner ceux qui –au gré des mandatures-
ont mené la France au chaos… Il est temps de se révolter contre cet
islam, là, et retrouver pleinement son âme, son identité, ses libertés
et cet amour sacré de la Patrie !
« Je vous le dis, s’ils se taisent, les pierres crieront » (Luc 19:40).
Puis…
Oh miracle ! Est-ce ce verset de l’Evangile selon Saint Luc ou les voix
de ces centaines de martyrs qui ont rendu plus prolixe François
Hollande ? Après avoir inlassablement répété durant des années que « l’islam est compatible avec la démocratie »… que « l’islam est une religion de tolérance, d’amour et de paix » et qu’il ne « faut pas faire d’amalgame »,
voilà que le 15 juillet 2016, dans une allocution télévisée depuis
l’Elysée, le Chef de l’Etat déclare pour la première fois : « C’est toute la France qui est sous la menace du terrorisme islamiste ! »
Ce n’est pas en versant des larmes, en déposant des fleurs, en allumant des bougies, en multipliant les « cellules de crise »… et en mettant en place des N° verts et des clips « contre le racisme », qu’on combattra le terrorisme islamiste… Ce n’est pas en célébrant des offices religieux et en écrivant « Je suis Paris »… « Je suis Nice »… ou, plus affligeant encore : « Vous n’aurez pas ma haine ! », qu’on vaincra le monstre… mais en le traquant et en lui assénant les coups les plus meurtriers.
De
la haine, il en faut !... de cette haine que les soldats entretiennent
pour pouvoir continuer à être des soldats ! Il faut monter en première
ligne, il faut que la peur change de camp afin que le monstre retourne
et s’enterre dans les sables du désert…
La France est aux yeux de l’islam une aire de guerre, « dâr al-harb », et elle se doit de traiter ce dernier de la même manière qu’il la traite. Tout le reste n’est que discussion stérile et vaine logomachie !
Et c’est encore Boualem Sansal qui nous avertit et dicte la conduite à tenir : « Les
rassemblements officiels où l’on vient se lamenter et pleurnicher
donnent de la France officielle une image déplorable qui encourage les
islamistes. La France devrait, à travers ses chefs, donner l’image d’un
pays DEBOUT et capable d’affronter le pire ! »
Mais,
une fois encore, le temps fait son œuvre… Il laisse inexorablement la
place à un scepticisme désenchanté, une relativisation des choses, un
détachement pervers de nos opinions fatiguées et, le pire, une mémoire
qui s'estompe et qui n'est que trop voisine de l'égoïsme, de
l'indifférence et de la lâcheté.
Après
s’être réveillés brutalement de leur sommeil, les Français se
replongent dans leur amnésie habituelle et reprennent leur morne
sommeil...
Brave
peuple résigné, continue à ne rien vouloir entendre, à ne rien vouloir
voir… Persiste dans ta léthargie mais, combien dur sera le réveil !...
Dans « Crime et Châtiment », Dostoïevski écrivait : « L'homme est une ordure, il s'habitue à tout ». Il rejoignait, là, Voltaire qui, dans son chapitre 30 de Candide ironisait : « Cette catastrophe faisait partout un grand bruit pendant quelques heures… »
Combien faudra-t-il donc ajouter de siècles à ceux qui sont derrière nous pour qu’ils n’aient pas honte de leurs aînés ?...
José CASTANO
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