lundi 16 juillet 2018

CRIME SANS CHÂTIMENT DE JACQUES JUPFER


Nous avons oublié le sens du mot « ennemi ». On peut écouter les émissions télévisées concernant les actes du hamas, feuilleter la presse et écouter les doctes conférenciers de nos élites juridico-médiatiques, le mot « ennemi » n’apparaît jamais. Nous avons affaire à des « palestiniens », « terroristes », membres du Hamas mais nous ne nous battons pas contre l’ennemi arabe qui réside en Israël.
Nous sommes en permanence sur la défensive. Ainsi contre les voitures bélier, nous avons placé des pilonnes devant les stations d’autobus. Face au bombardement des missiles et des mortiers de Gaza, notre génie technologique a inventé le dôme de fer. Face aux cerfs-volants et aux ballons incendiaires, nous développons une technologie pour les détruire. Contre les tunnels des assassins de Gaza, nous avons mis en place une structure sophistiquée qui empêche le passage par ces voies souterraines.
Mais en fait, nous détruisons les fusées et nous laissons vivants ceux qui les tirent. Ainsi, nous sommes fiers d’avoir détruit la voiture du chef qui actionne le cerf-volant après qu’il soit sorti de son véhicule. Nous avons fermé le point de passage entre Gaza et nos terres. Mais nous laissons passer les soins humanitaires, l’eau, la nourriture et les besoins essentiels de la population. Nous avons diminué la zone de pêche des Gazaouis et nous avons arraisonné le premier bateau comportant des blessés. Nous avons ramené le bateau à ashdod et emmené les blessés arabes dans nos hôpitaux. Nous avons enfin bloqué les montants que « l’autorité palestinienne » verse aux assassins et à leurs familles mais nous permettons à l’argent européen de se déverser dans les caisses des terroristes. Les bombes arabes ont détruit le générateur d’électricité mais nous l’avons réparé sous les tirs ennemis.
La politique menée par la gauche de culpabilisation permanente, de commissions d’enquête, d’un vocabulaire reconnaissant les droits établissant la réalité d’un pseudo peuple « palestinien», les attaques permanentes contre le rétablissement du peuple juif sur sa terre libérée nous ont engourdi l’esprit.
Il ne suffit pas de détruire la fusée arabe mais il faut tuer celui qui la lance. Aux incendies qui dévastent la zone autour de la bande de Gaza, on ne répond pas en attendant que le chef sorte de sa voiture pour l’atteindre. C’est lui et les lanceurs de cerfs-volants qui doivent être liquidés. Notre réponse ne doit pas être seulement l’établissement d’un mur souterrain autour de nos villages. C’est en éliminant les architectes et les terrassiers que sera éliminé le danger.
Nous n’avons pas affaire à une population de « civils innocents ». Ils ont placé le Hamas au pouvoir, dégusté les friandises amenées après l’assassinat de chaque juif, brûlé nos synagogues. Ils sont nos ennemis et à la guerre on doit les éliminer.
Les ordres de l’armée d’Israël sont de tirer, dans les cas extrêmes, dans la jambe des terroristes. Il serait intéressant de savoir combien de lettres de remerciement a reçu Tsahal de ceux qui ont été blessés au pied au lieu de recevoir une balle dans la tête. Nos mesures défensives qui coûtent si cher à Israël ont-elles fait l’admiration et obtenu le soutien des puissances européennes ?
Les « jeunes » qui nous lancent des bombes incendiaires, brûlent nos champs et font courir des risques effrayants à nos jardins d’enfants, ne sont pas des jeunes civils mais des ennemis. Il est préférable qu’ils soient éliminés aujourd’hui plutôt que d’avoir nos enfants et nos petits-enfants obligés de combattre ces assassins demain.
« Mal nommer les choses, ajoute aux malheurs du monde » écrivait Albert Camus. Nous faisons face non pas à des « palestiniens » mais à des terroristes arabes, des sauvages éduqués dans la haine et qui n’ont aucun respect pour la vie et qui sont nos ennemis. Leur crime mérite le châtiment suprême.
Il n’est que temps de restaurer notre puissance de dissuasion et de passer à l’offensive.

Jacques Kupfer

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