mercredi 11 mai 2016

"JERUSALEM, LE DERNIER REMPART" DE HUBERT ZAKINE



extrait de mon livre : JERUSALEM, LE DERNIER REMPART

Un bref aperçu du pays et de son histoire
La terre appelée Israël ou Palestine est un petit (10.000 milles carrés actuellement) territoire à l'extrémité orientale de la mer Méditerranée. Au cours de sa longue histoire, son étendue, sa population et ses occupants ont beaucoup changé. L'Etat actuel Israël occupe formellement tout le pays, du fleuve Jourdain à la Méditerranée, borné par l'Egypte dans le Sud, le Liban au Nord, et la Jordanie à l'Est. Les frontières reconnues Israël couvrent environ 78% de cette superficie. Le reste est divisé entre la zone occupée par Israël depuis la guerre des six jours en 1967 et des régions autonomes gérées par  l'autorité palestinienne. La Bande de Gaza occupe de plus 365 km² au Sud d’Israël. Elle est sous le contrôle de l’Autorité palestinienne.
La Palestine a été habitée sans interruption depuis des dizaines de milliers d'années. On y à découvert des fossiles de l'homo Erectus, de l'homme de Neandertal et différents types entre ce dernier et l'homme moderne. A Jéricho, les archéologues ont trouvé du blé hybride EMER datant d'avant 8.000 B.C. Ce qui fait de Jéricho un des lieux d'activité agricole les plus anciens du monde. Les Amorrites, les Cananéens, et d'autres peuples sémites proches des Phéniciens de Tyr sont arrivés vers  2000 B.C. dans la région qui s'appelle alors le Pays  de Canaan.
Les découvertes  archéologiques indiquent que le  peuple juif est  issu des peuples indigènes de Canaan  et des tribus qui ont envahi la contrée. Quelque part entre 1800 et 1500 B.C., on pense qu'un peuple sémite appelé Hébreu (hapiru) a quitté la Mésopotamie pour s'installer en Canaan. Canaan était alors habité par différentes tribus y compris des peuples sémites, des Hittites et plus tard des  Philistins, les peuples de la mer supposés être arrivés de Mycènes ou d'avoir appartenu aux peuples de la Grèce antique qui se sont également installés à Mycènes
Selon la bible, Moïse a emmené les Israélites, ou une partie d'entre eux, hors d'Egypte. Sous Josué, ils ont conquis les tribus et les villes-états de Canaan.  Sur base des récits bibliques, on estime que vers 1000 B.C., le Roi David a conquis Jérusalem et fondé un royaume israélite sur une grande partie de Canaan y compris  des parties de la Transjordanie. Le royaume se divisa à la mort de Salomon, fils de David: la  Judée au Sud et Israël au Nord. Jérusalem est resté le centre de la souveraineté et du culte juif chaque fois que les Juifs ont dominé le pays par la suite, jusqu'à la révolte juive de 133 AD.
Les Assyriens conquirent Israël vers 722 ou 721 B.C. Les Babyloniens prirent Juda autour de 586 B.C.  Le temple de Salomon à Jérusalem fut détruit et un grand nombre de Juifs exilés. 50 ans plus tard, Cyrus, Roi de Perse, conquit Babylone. Cyrus a autorisé
Un groupe de Juifs de Babylone à reconstruire Jérusalem et à s'y installer. Cependant, un grand nombre de Juifs restèrent à Babylone où ils devinrent la première Diaspora juive. Après le rétablissement d'un état ou protectorat juif, les exilés babyloniens ont maintenu le contact avec les autorités de Jérusalem. Les Perses ont régné sur le pays d'environ 530 à 331 B.C. Alexandre le grand conquit ensuite l'Empire perse. Après la mort d'Alexandre en 323 B.C., ses généraux ont divisé l'empire. L'un d'eux, Séleucos, fonda une dynastie qui a conquis une grande partie de la Palestine vers 200 B.C. Au début, les rois  séleucides permirent la pratique du judaïsme. Plus tard, Antiochos IV a essayé de l'interdire. En 167 B.C., les Juifs se sont révolté sous la conduite des
Vers 61 B.C., les légions romaines de Pompée ont envahi Juda et mis Jérusalem à sac. Le pays passa sous contrôle romain. Les Romains l'appelèrent Judée. , Conformément à la foi chrétienne, Jésus Christ est né à Bethlehem dans les premières années de la période romaine. Les Romains ont maté les révoltes juives de 70 A.D. et 132 A.D. En 135, les Romains ont expulsé les Juifs hors de Jérusalem et appelèrent alors le pays Palaestina. Le nom de Palaestina, devenu Palestine en français, vient d'Hérodote, qui a employé le nom de Palaistine Syrie, "la Syrie philistine", pour parler de toute la région méridionale de la Syrie, La plupart des Juifs qui continuaient à pratiquer leur religion fuirent ou furent déportés de Palestine, formant une deuxième Diaspora juive. Cependant, des communautés juives continuèrent à exister en Galilée, au Nord de la Palestine. La Palestine a été gouvernée par l'empire romain jusqu'au quatrième siècle A.D. (300's) quand elle devient une partie de l'empire byzantin. Le christianisme s'est répandu dans la majeure partie de la Palestine. La population se composa de Juifs convertis au christianisme et au paganisme, de peuples amenés par les Romains, et d'autres qui avaient probablement toujours habité la Palestine.
Au septième siècle (A.D. 600's), les armées  arabes partant du Nord de l'Arabie conquièrent la majeure partie du Moyen-Orient, y compris la Palestine.  Les puissances musulmanes ont régné sur la région jusqu'au début des années 1900. Les  chrétiens et les juifs étaient autorisés à garder leurs religions mais graduellement la majeure partie de la population locale a accepté l'Islam et la culture Arabo-islamique de leurs dirigeants. Jérusalem est devenue sainte aux yeux des musulmans comme l'endroit d'où, selon la tradition, Mahomet est monté au ciel après une  chevauchée nocturne miraculeuse sur son cheval Al-Buraq. La mosquée d'Al-Aqsa a été construite à l'emplacement de ce miracle, sur un lieu généralement admis comme celui où s'élevaient les temples juifs.
Les Turcs Seldjoukides ont pris la ville de Jérusalem en 1071. Ils ont régné  moins de 30 ans sur la Palestine. En 1098, les Fatimides, basés en Egypte, ont tiré profit des luttes entre les Seldjoukides et les croisés chrétiens venus d'Europe pour s'allier avec ces derniers et  capturer Jérusalem, Jaffa et d'autres régions de la Palestine. Cependant, les croisés rompirent l'alliance et envahirent  la Palestine un an plus tard, prenant Jaffa et Jérusalem en 1099. Un grand massacre des défenseurs juifs et musulmans suivit et aucun Juif ne fut plus autorisé à habiter Jérusalem. Les croisés gardèrent la ville jusqu'en 1187, quand Saladin attaqua la Palestine et conquit Jérusalem. En vertu du  traité avec Saladin, les croisés conservèrent un domaine le long de la côte de la Palestine. Cependant, les croisés rompirent le traité avec Saladin ainsi que les traités ultérieurs lors de plusieurs croisades successives qui essayèrent en vain de reprendre Jérusalem. En 1291, les croisés ont été expulsés avec la prise d'Acre par les musulmans. Suivit alors une période où les croisés lançaient fréquemment des raids de pillage contre la côte de Palestine. Pour réduire au minimum les bénéfices de ces incursions, les gouvernants musulmans ont retiré la population des côtes et pratiqué une politique de la terre brûlée dont le résultat fut le dépeuplement et l'appauvrissement considérable de la côte de la Palestine pour des centaines d'années.
Au  milieu du 13ème' siècle, les Mameluks, à l'origine des soldats-esclaves des Arabes, basés en Egypte, ont établi un empire qui, à terme, a inclus la Palestine. Les musulmans arabophones composaient la majeure partie de la population de la Palestine. Dans les dernières années 1300, des Juifs d'Espagne et d'autres régions méditerranéennes s'installèrent  à Jérusalem et ailleurs dans la région. Les Ottomans battirent les Mameluks en 1517 et la Palestine devint une partie de l'Empire. Le Sultan invita les Juifs fuyant l'Inquisition espagnole à s'installer dans l'empire, y compris dans plusieurs villes de Palestine.
En 1798, Napoléon envahit la région. Cette guerre et la mauvaise administration des gouvernants égyptiens et ottomans qui suivirent, firent diminuer la population de la Palestine. Les Arabes et les Juifs sont partis pour des terres plus sûres et plus prospères. La réorganisation de l'Empire turc et son ouverture aux étrangers ont ramené un certain calme. Elles ont également permis le début de la colonisation  juive par différents mouvements sionistes et proto-Sionistes.  Les populations arabe et juive augmentèrent. Vers 1880, environ 24.000 Juifs habitaient la Palestine dont la population globale s'élevait à environ 400.000 personnes. Le gouvernement ottoman imposa alors de sévères restrictions à l'immigration et à l'achat de terres par les Juifs. Celles-ci furent éludées de diverses manières par les Juifs cherchant à coloniser la Palestine………………….. 



JERUSALEM CAPITALE D’ISRAEL



Alerter le monde qui se prétend libre, prendre le problème à bras le corps, ne pas renoncer à JERUSALEM, la ville symbole, capitale du seul pays  du Moyen-Orient où règne la démocratie. Parler sans sacrifier à la sacro-sainte  langue de bois qui paralyse et emprisonne toute résistance occidentale à la décadence programmée par l’Islam, cet Islam fanatique qui bafoue la vie en commettant un nombre incalculable de méfaits à travers la planète sans que personne n’ose émettre la moindre réserve. Cela laisse pantois un homme comme moi, judéo-arabe par mon ascendance, occidental par ma naissance dans une Algérie française, ni meilleur ni pire qu’un autre. Ni plus raciste, ni moins angélique, ni plus intelligent, ni moins patriote. Un homme qui arrive à la croisée des chemins, qui s’approche à grands pas de la vieillesse avec le sentiment de ne pas avoir pris le bon wagon de la défense naturelle de ses enfants et de ses petits enfants face à la déferlante islamique.

Voila qu’on se trouve devant  une composante du monde, l’Islam, qui veut imposer sa loi au reste de l’humanité. Un reste de l’humanité léthargique qui feint de juger ce danger avec circonspection. Que faut-il de plus que ce long chapelet d’attentats, de décapitations, d’enlèvements, de barbarie de tous genres, de guerres dans les pays islamiques. Il me faudrait une journée entière à énumérer les meurtres commis au nom de l’Islam fanatique et les pays qui soutiennent ces nations sanguinaires. Ce que je vois, moi homme occidental, ni apôtre d’une solution finale anti-islam, ni complice d’un regard bienveillant sur ces régimes dictatoriaux, pourquoi d’autres occidentaux, plus importants que moi, n’alarment-ils pas les consciences de pays civilisés avant qu’il ne soit trop tard. Ai-je un don de double vue pour voir ce qui devrait sauter aux yeux du commun des mortels ? C’est bien beau de faire des ronds de jambes devant l’infâme capitulation d’un monde occidental qui a sa propre croyance et sa propre histoire ! Minimiser la  sauvagerie d’un monde barbare qui mise sur la faiblesse de l’occident et sur le ventre de ses femmes pour lever une armée qui submergera la planète toute entière, cela n’est plus de mise.

N’est-il pas temps, messieurs les occidentaux, d’ouvrir les yeux et de prendre les mesures qui s’imposent avant  que les barbares ne descendent dans les rues. Ce n’est pas se livrer au plus stupide racisme, cette denrée si courue de nos jours que les islamistes déploient pour stigmatiser les défenseurs de l’occident, que de dire des vérités premières. Faut-il se livrer pieds et poings liés à cette macabre danse de la mort jouée par les virtuoses du fanatisme islamique sous prétexte que le politiquement correct a droit de cité dans nos rues ? Si ces gens là y voient un quelconque racisme, c’est que les mots sont vidés de leur substance car on ne peut parler de racisme face à la déferlante venue des pays arabes et qui poursuit sa progression jusque sous nos fenêtres. Et si l’on doit évoquer un racisme, parlons d’un racisme islamique qui refuse toute tentative d’un dialogue avec les dépositaires d’autres religions. Dire des vérités sur le danger que fait courir cette lecture de l’islam dans nos démocraties est non seulement un acte militant mais également une démarche de salubrité publique. Dire que les nations civilisées ont le droit et le devoir de faire la police chez elles pour le bien-être de leurs peuples ne reléve pas d’un manichéisme de circonstance mais d’une volonté inébranlable de donner un signe fort à l’immigration islamiste. Que cette immigration soit trop ou pas assez nombreuse ne me regarde pas, cette question est à débattre par les politiques et je ne suis pas un politique. Je ne suis qu’un citoyen français avec des droits et des devoirs que la constitution m’a octroyés  et non pas les droits de l’homme  qui bafouent la mémoire de nos anciens en profitant de la mansuétude de nos dirigeants. S’attaquer à cet islam radical, intolérant avec les femmes, avec les « infidèles » chrétiens, protestants, juifs, athées ou de toute  autre  religion,  ces « mécréants de la pensée » ainsi qu’avec le peuple arabe que les dirigeants maintiennent dans un moyen-âge politique pour mieux les contrôler. S’attaquer à ces gens là, c’est survivre !

Internet est un formidable vecteur d’images qui charrient sur les cinq continents la sauvagerie d’une part et l’outrecuidance d’une autre. L’autre jour, une bande de fous d’Allah claironnaient à qui voulaient les entendre la parole de l’islam pur et dur en plein cœur de Londres. Devant les forces de l’ordre de sa  Majesté britannique qui désiraient mettre fin à cette mascarade, les fous d’Allah se sont permis  d’interdire aux « bobbies » d’intervenir sur des musulmans en éructant des menaces à plusieurs reprises : « Comment oses-tu toucher un musulman ? » Le mécréant avait osé repousser avec des gestes, pourtant,  mesurés la déferlante islamique !

Je suis resté stupéfait devant mon ordinateur. La scène se déroulait en pleine journée, à Londres, capitale  de la Grande Bretagne, pays occidental s’il en est ! Que les musulmans pratiquent la religion qu’ils veulent, de la façon qu’ils désirent, entourés de gens qui partagent leur croyances mais pas avec cette haine pour celui qui ne partage pas ses convictions religieuses qu’ils affublent du nom de mécréant. Pour cela, qu’ils aillent chez eux!

Grace à Dieu et, surtout grâce à la mansuétude du monde libre, cinquante sept pays arabes cohabitent  sur cette terre que les nations dites civilisées prétendent d’amour et de charité où coulent le lait et le miel. Les pays colonisateurs ont laissé à ces jeunes nations des richesses insoupçonnées  que les nouveaux maîtres n’ont pas sues ou pas voulues redistribuer à leurs peuples. Il n’y a qu’à voir la richesse indécente des cheiks d’Arabie  pour s’apercevoir que le peuple est laissé pour « solde de tous comptes » par les rois et autres princes du pétrole. Comment un peuple aussi méprisé par ses dirigeants se laisse-t-il conduire à la mort sans se rebeller, sans émettre la moindre protestation ? Il est vrai qu’en d’autres temps et qu’en d’autres lieux, d’autres peuples ont subi même punition (quel doux euphémisme pour parler de la Shoah !) sans réagir.

Un peuple musulman qui endosse toutes les turpitudes de ses dirigeants tout au long de son histoire. Pour quel résultat ? Des pays qui restent en rade de la modernité, des hommes qui attendent le bon vouloir des autres pays pour émigrer pour une année ou pour toute une vie, une jeunesse féminine qui n’a pas son mot à dire sur un hypothétique mariage, des jeunes hommes que guettent les fous d’Allah pour les enrôler dans un combat où la mort rode, des enfants que l’on éduque dans la haine du juif et de l’Occident, seuls responsables de la misère moyen-orientale ?

Avidité ou mauvais calcul, le résultat est misérable et catastrophique. Les peuples affamés sont tenus par une adroite politique religieuse et par la crainte du bâton sans élever la moindre protestation, leur esprit étant conditionné par leur éducation qui désigne l’ennemi héréditaire : Israël. L’ennemi responsable de tous les maux, coupable d’avoir fait d’un mouchoir de poche où ne poussaient que des cailloux, un beau pays où coulent le lait et le miel tant promis par les gouvernements arabes.

Alors, ils se tournent vers l’Islam qui les conduira  infailliblement au paradis d’Allah où les attendent  de jeunes et belles  vierges musulmanes après avoir repoussé les Israéliens jusqu’aux frontières du Moyen-Orient.








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