extrait de mon livre : JERUSALEM, LE DERNIER REMPART
Un
bref aperçu du pays et de son histoire
La terre appelée Israël ou
Palestine est un petit (10.000 milles carrés actuellement) territoire à
l'extrémité orientale de la mer Méditerranée. Au cours de sa longue histoire,
son étendue, sa population et ses occupants ont beaucoup changé. L'Etat actuel
Israël occupe formellement tout le pays, du fleuve Jourdain à la Méditerranée,
borné par l'Egypte dans le Sud, le Liban au Nord, et la Jordanie à l'Est. Les
frontières reconnues Israël couvrent environ 78% de cette superficie. Le reste
est divisé entre la zone occupée par Israël depuis la guerre des six jours en
1967 et des régions autonomes gérées par l'autorité palestinienne. La
Bande de Gaza occupe de plus 365 km² au Sud d’Israël. Elle est sous le contrôle
de l’Autorité palestinienne.
La Palestine a été habitée sans
interruption depuis des dizaines de milliers d'années. On y à découvert des
fossiles de l'homo Erectus, de
l'homme de Neandertal et
différents types entre ce dernier et l'homme moderne. A Jéricho, les
archéologues ont trouvé du blé hybride EMER datant d'avant 8.000 B.C. Ce qui
fait de Jéricho un des lieux d'activité agricole les plus anciens du monde. Les
Amorrites, les Cananéens, et d'autres peuples sémites proches des Phéniciens de
Tyr sont arrivés vers 2000 B.C. dans la région qui s'appelle alors le
Pays de Canaan.
Les découvertes
archéologiques indiquent que le peuple juif est issu des peuples
indigènes de Canaan et des tribus qui ont envahi la contrée. Quelque part
entre 1800 et 1500 B.C., on pense qu'un peuple sémite appelé Hébreu (hapiru) a quitté la Mésopotamie pour
s'installer en Canaan. Canaan était alors habité par différentes tribus y
compris des peuples sémites, des Hittites et plus tard des Philistins,
les peuples de la mer supposés être arrivés de Mycènes ou d'avoir appartenu aux
peuples de la Grèce antique qui se sont également installés à Mycènes
Selon la bible, Moïse a emmené
les Israélites, ou une partie d'entre eux, hors d'Egypte. Sous Josué, ils ont
conquis les tribus et les villes-états de Canaan. Sur base des récits
bibliques, on estime que vers 1000 B.C., le Roi David a conquis Jérusalem et
fondé un royaume israélite sur une grande partie de Canaan y compris des
parties de la Transjordanie. Le royaume se divisa à la mort de Salomon, fils de
David: la Judée au Sud et Israël au Nord. Jérusalem est resté le centre
de la souveraineté et du culte juif chaque fois que les Juifs ont dominé le
pays par la suite, jusqu'à la révolte juive de 133 AD.
Les Assyriens conquirent Israël
vers 722 ou 721 B.C. Les Babyloniens prirent Juda autour de 586 B.C. Le
temple de Salomon à Jérusalem fut détruit et un grand nombre de Juifs exilés.
50 ans plus tard, Cyrus, Roi de Perse, conquit Babylone. Cyrus a autorisé
Un groupe de Juifs de Babylone à
reconstruire Jérusalem et à s'y installer. Cependant, un grand nombre de Juifs
restèrent à Babylone où ils devinrent la première Diaspora juive. Après le
rétablissement d'un état ou protectorat juif, les exilés babyloniens ont
maintenu le contact avec les autorités de Jérusalem. Les Perses ont régné sur
le pays d'environ 530 à 331 B.C. Alexandre le grand conquit ensuite l'Empire
perse. Après la mort d'Alexandre en 323 B.C., ses généraux ont divisé l'empire.
L'un d'eux, Séleucos, fonda une dynastie qui a conquis une grande partie de la
Palestine vers 200 B.C. Au début, les rois séleucides permirent la
pratique du judaïsme. Plus tard, Antiochos IV a essayé de l'interdire. En 167
B.C., les Juifs se sont révolté sous la conduite des
Vers 61 B.C., les légions
romaines de Pompée ont envahi Juda et mis Jérusalem à sac. Le pays passa sous
contrôle romain. Les Romains l'appelèrent Judée. , Conformément à la foi
chrétienne, Jésus Christ est né à Bethlehem dans les premières années de la
période romaine. Les Romains ont maté les révoltes juives de 70 A.D. et 132
A.D. En 135, les Romains ont expulsé les Juifs hors de Jérusalem et appelèrent
alors le pays Palaestina. Le nom de Palaestina, devenu
Palestine en français, vient d'Hérodote, qui a employé le nom de Palaistine Syrie, "la Syrie
philistine", pour parler de toute la région méridionale de la Syrie, La
plupart des Juifs qui continuaient à pratiquer leur religion fuirent ou furent
déportés de Palestine, formant une deuxième Diaspora juive. Cependant, des
communautés juives continuèrent à exister en Galilée, au Nord de la Palestine.
La Palestine a été gouvernée par l'empire romain jusqu'au quatrième siècle A.D.
(300's) quand elle devient une partie de l'empire byzantin. Le christianisme
s'est répandu dans la majeure partie de la Palestine. La population se composa
de Juifs convertis au christianisme et au paganisme, de peuples amenés par les
Romains, et d'autres qui avaient probablement toujours habité la Palestine.
Au septième siècle (A.D. 600's),
les armées arabes partant du Nord de l'Arabie conquièrent la majeure
partie du Moyen-Orient, y compris la Palestine. Les puissances musulmanes
ont régné sur la région jusqu'au début des années 1900. Les chrétiens et
les juifs étaient autorisés à garder leurs religions mais graduellement la
majeure partie de la population locale a accepté l'Islam et la culture
Arabo-islamique de leurs dirigeants. Jérusalem est devenue sainte aux yeux des
musulmans comme l'endroit d'où, selon la tradition, Mahomet est monté au ciel
après une chevauchée nocturne miraculeuse sur son cheval Al-Buraq. La mosquée d'Al-Aqsa a été
construite à l'emplacement de ce miracle, sur un lieu généralement admis comme
celui où s'élevaient les temples juifs.
Les Turcs Seldjoukides ont pris
la ville de Jérusalem en 1071. Ils ont régné moins de 30 ans sur la
Palestine. En 1098, les Fatimides, basés en Egypte, ont tiré profit des luttes
entre les Seldjoukides et les croisés chrétiens venus d'Europe pour s'allier
avec ces derniers et capturer Jérusalem, Jaffa et d'autres régions de la
Palestine. Cependant, les croisés rompirent l'alliance et envahirent la
Palestine un an plus tard, prenant Jaffa et Jérusalem en
1099. Un grand massacre des défenseurs juifs et musulmans suivit et aucun Juif
ne fut plus autorisé à habiter Jérusalem. Les croisés gardèrent la ville
jusqu'en 1187, quand Saladin attaqua la Palestine et conquit Jérusalem. En
vertu du traité avec Saladin, les croisés conservèrent un domaine le long
de la côte de la Palestine. Cependant, les croisés rompirent le traité avec
Saladin ainsi que les traités ultérieurs lors de plusieurs croisades
successives qui essayèrent en vain de reprendre Jérusalem. En 1291, les croisés
ont été expulsés avec la prise d'Acre par les musulmans. Suivit alors une
période où les croisés lançaient fréquemment des raids de pillage contre la
côte de Palestine. Pour réduire au minimum les bénéfices de ces incursions, les
gouvernants musulmans ont retiré la population des côtes et pratiqué une
politique de la terre brûlée dont le résultat fut le dépeuplement et
l'appauvrissement considérable de la côte de la Palestine pour des centaines
d'années.
Au milieu du 13ème'
siècle, les Mameluks, à l'origine des soldats-esclaves des Arabes, basés en
Egypte, ont établi un empire qui, à terme, a inclus la Palestine. Les musulmans
arabophones composaient la majeure partie de la population de la Palestine.
Dans les dernières années 1300, des Juifs d'Espagne et d'autres régions
méditerranéennes s'installèrent à Jérusalem et ailleurs dans la région.
Les Ottomans battirent les Mameluks en 1517 et la Palestine devint une partie
de l'Empire. Le Sultan invita les Juifs fuyant l'Inquisition espagnole à
s'installer dans l'empire, y compris dans plusieurs villes de Palestine.
En 1798, Napoléon envahit la
région. Cette guerre et la mauvaise administration des gouvernants égyptiens et
ottomans qui suivirent, firent diminuer la population de la Palestine. Les
Arabes et les Juifs sont partis pour des terres plus sûres et plus prospères.
La réorganisation de l'Empire turc et son ouverture aux étrangers ont ramené un
certain calme. Elles ont également permis le début de la colonisation
juive par différents mouvements sionistes et proto-Sionistes. Les
populations arabe et juive augmentèrent. Vers 1880, environ 24.000 Juifs
habitaient la Palestine dont la population globale s'élevait à environ 400.000
personnes. Le gouvernement
ottoman imposa alors de sévères
restrictions à l'immigration et à l'achat de terres par les Juifs. Celles-ci
furent éludées de diverses manières par les Juifs cherchant à coloniser la
Palestine…………………..
JERUSALEM CAPITALE
D’ISRAEL
Alerter le monde qui se prétend libre, prendre
le problème à bras le corps, ne pas renoncer à JERUSALEM, la ville symbole,
capitale du seul pays du Moyen-Orient où
règne la démocratie. Parler sans sacrifier à la sacro-sainte langue de bois qui paralyse et emprisonne
toute résistance occidentale à la décadence programmée par l’Islam, cet Islam
fanatique qui bafoue la vie en commettant un nombre incalculable de méfaits à
travers la planète sans que personne n’ose émettre la moindre réserve. Cela
laisse pantois un homme comme moi, judéo-arabe par mon ascendance, occidental
par ma naissance dans une Algérie française, ni meilleur ni pire qu’un autre.
Ni plus raciste, ni moins angélique, ni plus intelligent, ni moins patriote. Un
homme qui arrive à la croisée des chemins, qui s’approche à grands pas de la
vieillesse avec le sentiment de ne pas avoir pris le bon wagon de la défense
naturelle de ses enfants et de ses petits enfants face à la déferlante
islamique.
Voila qu’on se trouve devant une composante du monde, l’Islam, qui veut
imposer sa loi au reste de l’humanité. Un reste de l’humanité léthargique qui
feint de juger ce danger avec circonspection. Que faut-il de plus que ce long
chapelet d’attentats, de décapitations, d’enlèvements, de barbarie de tous
genres, de guerres dans les pays islamiques. Il me faudrait une journée entière
à énumérer les meurtres commis au nom de l’Islam fanatique et les pays qui
soutiennent ces nations sanguinaires. Ce que je vois, moi homme occidental, ni
apôtre d’une solution finale anti-islam, ni complice d’un regard bienveillant
sur ces régimes dictatoriaux, pourquoi d’autres occidentaux, plus importants
que moi, n’alarment-ils pas les consciences de pays civilisés avant qu’il ne
soit trop tard. Ai-je un don de double vue pour voir ce qui devrait sauter aux
yeux du commun des mortels ? C’est bien beau de faire des ronds de jambes
devant l’infâme capitulation d’un monde occidental qui a sa propre croyance et
sa propre histoire ! Minimiser la
sauvagerie d’un monde barbare qui mise sur la faiblesse de l’occident et
sur le ventre de ses femmes pour lever une armée qui submergera la planète
toute entière, cela n’est plus de mise.
N’est-il pas temps, messieurs les occidentaux,
d’ouvrir les yeux et de prendre les mesures qui s’imposent avant que les barbares ne descendent dans les rues.
Ce n’est pas se livrer au plus stupide racisme, cette denrée si courue de nos
jours que les islamistes déploient pour stigmatiser les défenseurs de
l’occident, que de dire des vérités premières. Faut-il se livrer pieds et
poings liés à cette macabre danse de la mort jouée par les virtuoses du
fanatisme islamique sous prétexte que le politiquement correct a droit de cité
dans nos rues ? Si ces gens là y voient un quelconque racisme, c’est que
les mots sont vidés de leur substance car on ne peut parler de racisme face à
la déferlante venue des pays arabes et qui poursuit sa progression jusque sous
nos fenêtres. Et si l’on doit évoquer un racisme, parlons d’un racisme
islamique qui refuse toute tentative d’un dialogue avec les dépositaires
d’autres religions. Dire des vérités sur le danger que fait courir cette
lecture de l’islam dans nos démocraties est non seulement un acte militant mais
également une démarche de salubrité publique. Dire que les nations civilisées
ont le droit et le devoir de faire la police chez elles pour le bien-être de
leurs peuples ne reléve pas d’un manichéisme de circonstance mais d’une volonté
inébranlable de donner un signe fort à l’immigration islamiste. Que cette
immigration soit trop ou pas assez nombreuse ne me regarde pas, cette question
est à débattre par les politiques et je ne suis pas un politique. Je ne suis
qu’un citoyen français avec des droits et des devoirs que la constitution m’a
octroyés et non pas les droits de
l’homme qui bafouent la mémoire de nos
anciens en profitant de la mansuétude de nos dirigeants. S’attaquer à cet islam
radical, intolérant avec les femmes, avec les « infidèles »
chrétiens, protestants, juifs, athées ou de toute autre
religion, ces « mécréants de
la pensée » ainsi qu’avec le peuple arabe que les dirigeants maintiennent
dans un moyen-âge politique pour mieux les contrôler. S’attaquer à ces gens là,
c’est survivre !
Internet est un formidable vecteur d’images qui
charrient sur les cinq continents la sauvagerie d’une part et l’outrecuidance
d’une autre. L’autre jour, une bande de fous d’Allah claironnaient à qui
voulaient les entendre la parole de l’islam pur et dur en plein cœur de
Londres. Devant les forces de l’ordre de sa
Majesté britannique qui désiraient mettre fin à cette mascarade, les
fous d’Allah se sont permis d’interdire
aux « bobbies » d’intervenir sur des musulmans en éructant des
menaces à plusieurs reprises : « Comment
oses-tu toucher un musulman ? » Le mécréant avait osé repousser
avec des gestes, pourtant, mesurés la
déferlante islamique !
Je suis resté stupéfait devant mon ordinateur.
La scène se déroulait en pleine journée, à Londres, capitale de la Grande Bretagne, pays occidental s’il
en est ! Que les musulmans pratiquent la religion qu’ils veulent, de la
façon qu’ils désirent, entourés de gens qui partagent leur croyances mais pas
avec cette haine pour celui qui ne partage pas ses convictions religieuses
qu’ils affublent du nom de mécréant. Pour cela, qu’ils aillent chez eux!
Grace à Dieu et, surtout grâce à la mansuétude
du monde libre, cinquante sept pays arabes cohabitent sur cette terre que les nations dites
civilisées prétendent d’amour et de charité où coulent le lait et le miel. Les
pays colonisateurs ont laissé à ces jeunes nations des richesses
insoupçonnées que les nouveaux maîtres
n’ont pas sues ou pas voulues redistribuer à leurs peuples. Il n’y a qu’à voir
la richesse indécente des cheiks d’Arabie
pour s’apercevoir que le peuple est laissé pour « solde de tous
comptes » par les rois et autres princes du pétrole. Comment un peuple
aussi méprisé par ses dirigeants se laisse-t-il conduire à la mort sans se
rebeller, sans émettre la moindre protestation ? Il est vrai qu’en
d’autres temps et qu’en d’autres lieux, d’autres peuples ont subi même punition
(quel doux euphémisme pour parler de la Shoah !) sans réagir.
Un peuple musulman qui endosse toutes les
turpitudes de ses dirigeants tout au long de son histoire. Pour quel
résultat ? Des pays qui restent en rade de la modernité, des hommes qui attendent
le bon vouloir des autres pays pour émigrer pour une année ou pour toute une
vie, une jeunesse féminine qui n’a pas son mot à dire sur un hypothétique
mariage, des jeunes hommes que guettent les fous d’Allah pour les enrôler dans
un combat où la mort rode, des enfants que l’on éduque dans la haine du juif et
de l’Occident, seuls responsables de la misère moyen-orientale ?
Avidité ou mauvais calcul, le résultat est
misérable et catastrophique. Les peuples affamés sont tenus par une adroite
politique religieuse et par la crainte du bâton sans élever la moindre
protestation, leur esprit étant conditionné par leur éducation qui désigne
l’ennemi héréditaire : Israël. L’ennemi responsable de tous les maux,
coupable d’avoir fait d’un mouchoir de poche où ne poussaient que des cailloux,
un beau pays où coulent le lait et le miel tant promis par les gouvernements
arabes.
Alors, ils se tournent vers l’Islam qui les
conduira infailliblement au paradis
d’Allah où les attendent de jeunes et
belles vierges musulmanes après avoir
repoussé les Israéliens jusqu’aux frontières du Moyen-Orient.
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