L’islam ne doit pas
bénéficier d’un traitement de faveur et de privilèges de la part de la
République qui à chaque fois qu’elle lui concède une parcelle de terrain, c’est
un pan entier de son pouvoir qui s’écroule jusqu’à ce qu’il ait fini par lui
porter le coup de grâce et la liquéfier. C’est un prédateur à l’appétit féroce
et insatiable. Jamais repu, il n’a de cesse tant qu’il n’aura pas tout englouti.
Il n’admet pas qu’il puisse exister un autre monde en dehors du sien. Il ne
reconnaît qu’une seul ordre politique et juridique que celui qui émane de ses
lois soi-disant d’essence divine, qui sont plus l’oeuvre d’un
mystificateur-imposteur. Suprémaciste, essentialiste et foncièrement raciste et
antisémite, négateur des droits humains et intolérant aux libertés les plus
élémentaires, allergique aux libertés d’expression et de conscience et aux
égalités de droit, l’islam n’offre aucune garantie d’intégration dans l’espace
républicain, et pourtant la république masochiste et faiblarde n’en a cure de
tout cela.
Coloniser, anéantir,
envahir, islamiser et détruire ce sont ses seuls mots d’ordre. Ne pas en tenir
compte, c’est signer son arrêt de mort inexorable.
Au lieu d’être ferme,
inflexible, intransigeante et vigilante, la république se complaît à avoir pour
lui les yeux de Chimène, à faire la belle qui cherche à séduire la bête, au lieu
de s’en prémunir et s’en protéger. Grâce à sa mansuétude, son laxisme, sa
bienveillance et sa sollicitude toute républicaine, l’Hydre musulmane se sent de
plus en plus renforcée dans son sentiment de toute-puissance, lui conférant un
statut juridique et politique comparable à celui dont jouissait l’Eglise au
Moyen Age.
Oubliant que la France a
fait depuis sa révolution contre justement les privilèges et les régimes
d’exception.
L’islam est un Etat dans
l’Etat exerçant un pouvoir souverain sur ses adeptes. Mais contrairement à tous
les autres cultes, le pouvoir de l’islam ne se limite pas au seul champ de la
religion.
Il gouverne leur vie dans
tous ses les domaines, social, légal, judiciaire, politique, intime, personnel,
et économique.
Or, la majorité de ces
domaines censés relever du champ des lois républicains, se trouve de facto entre
les mains de l’islam, obligeant la république de s’y accommoder et de lui
consentir des pans entiers de sa souveraineté pour ne pas le heurter et se
trouver accusée de racisme anti-musulman.
Comme s’il revenait à la
république de s’adapter aux moeurs et lois de l’islam, mais la peur qui est la
mère de la lâcheté l’inhibe et l’empêche de créer des garde-fous
anti-islam.
Elle doit savoir que
l’islam est velléitaire, cosmique, religion, Etat et monde, mu par des desseins
hégémoniques, totalitaires et expansionnistes qui se rêve en un futur Etat
mondial pour toute l’humanité qui naîtra sur ses propres cendres et de tous les
pays qui ont livré naïvement à l’islam les armes avec lesquelles il les a
achevés.
L’erreur fatale est
d’assimiler l’islam à une religion inoffensive et pacifique comme naguère la
même république avait drapé dans les années le nazisme de vertus humanistes
alors qu’il n’avait pourtant mystère de sa politique barbare, dictatoriale,
fasciste, raciste et génocidaire.
Toujours atteinte de la
même cécité mentale et aveuglée par son angélisme, la république fait
délibérément le lit à son ennemi qui ne manquera pas un jour d’en faire le lit
de mort de cette république défaillante et capitularde.
On ne fait pas entrer
impunément un charognard dans la bergerie sans risque de finir par être dévoré
par lui.
Tant que la République
n’a pas appliqué le principe élémentaire de précaution à l’égard du péril
musulman, elle devient la meilleure alliée de l’islam et l’ennemie
d’elle-même.
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