Une
voiture bélier écrase onze personnes à Dijon et le chauffeur hurle « allah hou
akbar ». Simple problème psychiatrique. Quant au musulman de Nantes qui a écrasé
quelques personnes en fonçant sur le marché de Noël et en vociférant « Allah hou
akbar », il ne s’agissait que d’un chauffard avec des problèmes techniques de
freinage! A Joué-Lès-Tours en lançant le même cri, un musulman du Burundi
poignarde des policiers dans un commissariat car il est désaxé.
A
Sydney, un musulman iranien prend en otage les consommateurs d’un café, tue deux
personnes en affichant le fanion de l’Etat islamique. Le même que celui trouvé
sur le site internet de l’assassin des policiers français.
Le
même drapeau et le même slogan lors de l’assassinat de plus de cent enfants à
Peshawar par des talibans pakistanais. C’était ce cri que le musulman indonésien
avait hurlé avant l’attaque contre une discothèque de Bali où périrent des
touristes australiens.
Toujours
au nom d’Allah, que plus d’une centaine de femmes chrétiennes ont été
assassinées par le Boko Haram des musulmans maliens et nigérians. L’alpiniste
français décapité l’a été par des musulmans algériens. C’est un médecin musulman
afghan qui a tué des militaires dans son cantonnement aux USA. Toujours au nom
d’Allah « hou akbar » que les tours jumelles de New York furent l’objet d’un
attentat qui coûta la vie à plus de trois mille citoyens américains. L’attaque
contre le marathon américain fut le fait de musulmans tchétchènes. Des émeutes
sanguinaires sont orchestrées en Chine par les ouighours musulmans.
Les
coptes victimes d’attentats sont la cible de musulmans égyptiens. Les yazidis et
chrétiens d‘Orient sont exterminés par des musulmans irakiens et syriens. A
Toulouse ou à Bruxelles, les crimes ignobles contre des enfants ou des visiteurs
d’un musée ont été commis par des musulmans maghrébins « français
».
Existe-t-il
un point commun de tous ces assassins ?
Ceux
qui estiment que l’assassinat de Juifs en prière dans une synagogue de
Jérusalem, l’assassinat d’un bébé qui n’a pas encore atteint sa première année
d’existence, fait partie de la « résistance du peuple palestinien », le paient
sur leur territoire. Les enfants kidnappés et égorgés par les adeptes musulmans
du Hamas ont conduit à répéter l’opération à Sydney. Le soutien d’un lamentable
Fabius et d’un benêt Kerry aux manifestations violentes des musulmans arabes en
Israël ont conduit à l’intifada de Sarcelles.
Demain
ce seront les Champs Elysées qui brûleront pour la plus grande gloire d’Allah
comme les centaines de voitures incendiées traditionnellement le soir de Noël en
France. La féroce et ignoble agression dont a été victime une femme de Créteil
par des musulmans africains et arabes préfigure le climat qui régnera dans les
banlieues françaises.
On a
le choix de pouvoir déclarer à chaque fois qu’il s’agit d’un malade suivi par
des services psychiatriques. A croire que seuls tous les malades mentaux
musulmans sont de sortie.
L’autre
explication est bien entendu dans le fait que ces musulmans sont des immigrés.
En conséquence il est naturel de se rassembler dans les cages d’escalier, de
briser les boites à lettres et l’ascenseur. On se demande pourquoi les immigrés
italiens, espagnols, polonais, arméniens ou Juifs ne l’avaient pas fait
auparavant et envoyaient leurs enfants à l’école. Tout réside dans un problème
de frustration, nous assure-t-on ! Et bien entendu, les plus sensibles à cette
immense frustration sont les« palestiniens ».
Les
Britanniques ont enlevé les trois quarts de la Palestine mandataire pour les
remettre aux arabes. Le quart restant fut encore divisé et l’Etat Juif se
retrouva avec une portion congrue du territoire qui lui était dévolu. On sait ce
que les Juifs ont réussi sur leurs terres dans les domaines agricoles,
scientifiques, culturels ou médicaux.
Les
arabes à l’est du Jourdain sur cette même terre continuaient à faire pousser du
sable. Ajoutez à cela une dizaine de campagnes militaires orchestrées par les
arabes pour éliminer l’Etat juif en pure perte. Il y a vraiment de quoi
transformer cette frustration en barbarie musulmane !
C’est
pourquoi désormais on ne parle pas de musulmans mais de «jeunes des cités », de
djihadistes, de salafistes ou d’islamistes, mieux encore d’ « islamistes
radicaux ».
Quel
est donc le point commun entre tous ces assassins à travers le monde ? Naïvement
je pensais que c’était l’islam et la lecture du Coran qui ordonne la conquête du
monde et le meurtre des infidèles. Quelque chose de comparable au « Mein Kampf »
qui reste un best-seller dans les pays arabes.
Mais
j’entends les grands de ce monde, les présidents et Premiers ministres
m’affirmer avec conviction que l’Islam est « une religion de paix et de
tolérance » !
Puisqu’ils
le disent, on ne saurait interdire l’Islam et il faudrait encourager ces
milliers de « français » qui vont réaliser l’idéal du Djihad dans le Califat
d’Orient.
La
lâcheté occidentale se paie comptant non pas en dollars qataris mais en sang
versé et en perte de leur substance nationale.
« Mal
nommer les choses, ajoute au malheur du monde » nous disait Albert
Camus.
Mais
comment le croire, c’était un ami d’Israël.
Jacques
Kupfer – Vice-président du Likud mondial | Photo : DR
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