Paul Painlevé fut de 1919 à 1933, Ministre de la Guerre, Ministre de l’Air, Président de l’Assemblée Nationale, Président du Conseil des Ministres.
« Le sort du peuple juif est un scandale de l’histoire. Comme l’hellénisme, le Judaïsme est une des sources profondes de nos civilisations occidentales : il leur a donné sa Bible, son D.ieu, sa soif inépuisable de justice, le lyrisme de ses vieux prophètes lancé comme un cri vers la D.ivinité.
Qu’un tel peuple ait été, il y a dix huit siècles, massacré, écartelé, dispersé comme un vil troupeau sur la face de la terre ; qu’on ait fait de lui, suivant le mot de Jaurès « le grand spolié du monde » condamné à un exil sans fin, et qu’on lui ait imputé à crime cet exil même pour justifier de nouvelles persécutions, c’est d’une iniquité qui depuis bien des années révolte tous les cœurs généreux. »
Le « cliché » de Paul Painlevé, Président du Conseil des Ministres, rectifie, à lui tout seul, les âneries, les abus de langage et les mensonges de sources diverses qui du sionisme, au Judaïsme déversent sur le peuple juif des amas d’immondices.
Après avoir dressé constat sur l’injustice et l’iniquité subies par les Juifs au cours de l’histoire, Paul Painlevé reprend à son compte le mot fameux de Jaurès « Le peuple juif est le grand spolié du monde » Par cette référence, celui qui eut en charge la conduite de la politique française dans la période charnière de l’entre deux guerres, confirme que la spécificité juive, c’est d’avoir d’abord été la victime de l’Europe.
Indiquer en 1928, la « spoliation » du peuple Juif, devrait faire réfléchir ceux qui ont choisi le camp du mensonge et de la falsification à propos de l’identité des seuls détenteurs du droit de propriété sur la soi disant terre de Palestine : LES JUIFS !
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