« Ils sont onze sur le terrain, mais c’est bien la seule preuve qu’ils jouent au football.
Ils forment une équipe mais leurs passes n’arrivent jamais à leurs partenaires.
Ils portent le maillot de la France sur leurs épaules mais ils s’en moquent comme de leur dernière Ferrari.
Ils roulent sur l’or, pas sur le tricolore.
Sur le terrain, ils errent comme des âmes en peine. Mais ont-ils une âme ? Ils ne tentent rien, n’osent rien, ne rêvent de rien…
Ils ont une mentalité de petit fonctionnaire à deux ans de la retraite dans une collectivité locale mais ils ont des revenus de traders avant la crise des subprimes.
Leur individualisme égocentrique est tel qu’on a envie de leur donner un ballon à chacun puisqu’ils ne veulent pas le partager : moi, ma gueule et moi-même.
On nous dit qu’ils jouent, pourtant. Fort bien, même, dans leurs clubs respectifs : au Bayern, à Chelsea, au Real… On comprend : qui paye commande.
Il y a quelques années, alors que Domenech s’obstinait à le sélectionner, Nicolas Anelka nous crachait sa haine de la France, pays raciste où il ne voulait surtout pas payer ses impôts. On se demande aujourd’hui si on ne préfère pas ses crachats à votre mépris !
(…) Alors messieurs, allez vous-en. Ôtez ce maillot qui n’a pas de sens pour vous. Oubliez-nous, comme on vous oubliera. On se consolera sur internet avec les coups francs de Platini et les dribbles de Zidane. On les montrera à nos enfants en leur disant, les yeux émus : c’était ça, l’Équipe de France !
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