lundi 12 avril 2010

JERUSALEM, LE DERNIER REMPART

QUELQUES PAGES DE MON DERNIER OUVRAGE :
 "JERUSALEM, LE DERNIER REMPART"

Ô JERUSALEM


Alerter le monde qui se prétend libre, prendre le problème à bras le corps, ne pas renoncer à JERUSALEM, la ville symbole, capitale du seul pays du Moyen-Orient où règne la démocratie. Parler sans sacrifier à la sacro-sainte langue de bois qui paralyse et emprisonne toute résistance occidentale à la décadence programmée par l’Islam, cet Islam fanatique qui bafoue la vie en commettant un nombre incalculable de méfaits à travers la planète sans que personne n’ose émettre la moindre réserve. Cela laisse pantois un homme comme moi, judéo-arabe par mon ascendance, occidental par ma naissance dans une Algérie française, ni meilleur ni pire qu’un autre. Ni plus raciste, ni moins angélique, ni plus intelligent, ni moins patriote. Un homme qui arrive à la croisée des chemins, qui s’approche à grands pas de la vieillesse avec le sentiment de ne pas avoir pris le bon wagon de la défense naturelle de ses enfants et de ses petits enfants face à la déferlante islamique.

Voila qu’on se trouve devant une composante du monde, l’Islam, qui veut imposer sa loi au reste de l’humanité. Un reste de l’humanité léthargique qui feint de juger ce danger avec circonspection. Que faut-il de plus que ce long chapelet d’attentats, de décapitations, d’enlèvements, de barbarie de tous genres, de guerres dans les pays islamiques. Il me faudrait une journée entière à énumérer les meurtres commis au nom de l’Islam fanatique et les pays qui soutiennent ces nations sanguinaires. Ce que je vois, moi homme occidental, ni apôtre d’une solution finale anti-islam, ni complice d’un regard bienveillant sur ces régimes dictatoriaux, pourquoi d’autres occidentaux, plus importants que moi, n’alarment-ils pas les consciences de pays civilisés avant qu’il ne soit trop tard. Ai-je un don de double vue pour voir ce qui devrait sauter aux yeux du commun des mortels ? C’est bien beau de faire des ronds de jambes devant l’infâme capitulation d’un monde occidental qui a sa propre croyance et sa propre histoire ! Minimiser la sauvagerie d’un monde barbare qui mise sur la faiblesse de l’occident et sur le ventre de ses femmes pour lever une armée qui submergera la planète toute entière, cela n’est plus de mise.

N’est-il pas temps, messieurs les occidentaux, d’ouvrir les yeux et de prendre les mesures qui s’imposent avant que les barbares ne descendent dans les rues. Ce n’est pas se livrer au plus stupide racisme, cette denrée si courue de nos jours que les islamistes déploient pour stigmatiser les défenseurs de l’occident, que de dire des vérités premières. Faut-il se livrer pieds et poings liés à cette macabre danse de la mort jouée par les virtuoses du fanatisme islamique sous prétexte que le politiquement correct a droit de cité dans nos rues ? Si ces gens là y voient un quelconque racisme, c’est que les mots sont vidés de leur substance car on ne peut parler de racisme face à la déferlante venue des pays arabes et qui poursuit sa progression jusque sous nos fenêtres. Et si l’on doit évoquer un racisme, parlons d’un racisme islamique qui refuse toute tentative d’un dialogue avec les dépositaires d’autres religions. Dire des vérités sur le danger que fait courir cette lecture de l’islam dans nos démocraties est non seulement un acte militant mais également une démarche de salubrité publique. Dire que les nations civilisées ont le droit et le devoir de faire la police chez elles pour le bien-être de leurs peuples ne reléve pas d’un manichéisme de circonstance mais d’une volonté inébranlable de donner un signe fort à l’immigration islamiste. Que cette immigration soit trop ou pas assez nombreuse ne me regarde pas, cette question est à débattre par les politiques et je ne suis pas un politique. Je ne suis qu’un citoyen français avec des droits et des devoirs que la constitution m’a octroyés et non pas les droits de l’homme qui bafouent la mémoire de nos anciens en profitant de la mansuétude de nos dirigeants. S’attaquer à cet islam radical, intolérant avec les femmes, avec les « infidéles » chrétiens, protestants, juifs, athées ou de toute autre religion, ces « mécréants de la pensée » ainsi qu’avec le peuple arabe que les dirigeants maintiennent dans un moyen-age politique pour mieux les controler. S’attaquer à ces gens là, c’est survivre !

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