Haman, Premier ministre du roi perse Assuérus (Xerxès), avait décidé d'exterminer tous les Juifs de Perse le 13 du mois d’Adar. Mais grâce à l’intervention d’Esther, auprès du roi, le complot est déjoué et se retourne contre Haman et les siens. Ce sauvetage miraculeux est fêté tous les ans. La fête de Pourim est une fête joyeuse et populaire.
En 1541, Charles-Quint se présente devant Alger avec une flotte impressionnante, décidé à prendre pied dans cette terre d'Afrique pour y chasser les Turcs. Il mouille dans le port d'Alger qui n'est pas habilité à recevoir de tels bateaux.
C'est l'angoisse et la peur panique parmi les juifs d'Alger. Ils craignent pour leur sécurité et leur survie. Les synagogues ne désemplissent pas. On n'oublie pas que cinquante années plus tôt les juifs furent chassés sans aucun ménagement d'Espagne par Isabelle la Catholique. La situation semble désespérée.
C'est alors que se produit un "miracle". Une tempête d'une violence inouïe survient, détruisant plus de 150 navires espagnols. Les rescapés de cette armée, se réfugient à Bougie, avec le reste de la flotte, subissant le froid et la faim, avant de rejoindre l'Espagne *
Depuis cette époque, on commémore tous les ans, le 4 HECHVAN, ce sauvetage miraculeux, qui fut appelé le « Pourim d'Alger ».
En 1541, Charles-Quint se présente devant Alger avec une flotte impressionnante, décidé à prendre pied dans cette terre d'Afrique pour y chasser les Turcs. Il mouille dans le port d'Alger qui n'est pas habilité à recevoir de tels bateaux.
C'est l'angoisse et la peur panique parmi les juifs d'Alger. Ils craignent pour leur sécurité et leur survie. Les synagogues ne désemplissent pas. On n'oublie pas que cinquante années plus tôt les juifs furent chassés sans aucun ménagement d'Espagne par Isabelle la Catholique. La situation semble désespérée.
C'est alors que se produit un "miracle". Une tempête d'une violence inouïe survient, détruisant plus de 150 navires espagnols. Les rescapés de cette armée, se réfugient à Bougie, avec le reste de la flotte, subissant le froid et la faim, avant de rejoindre l'Espagne *
Depuis cette époque, on commémore tous les ans, le 4 HECHVAN, ce sauvetage miraculeux, qui fut appelé le « Pourim d'Alger ».
Ce que ne savait pas Charles Quint c'est que la baie d'Alger était parsemée de petits rochers à fleur d'eau, invisibles à l'oeil nu, qui se trouvaient à l'entrée du chenal. Ce fut le piège "divin".
Ce qui était un avantage pour les corsaires d'Alger de l'époque qui pratiquait la Course fut, au contraire, un obstacle de taille pour une flotte de l'importance de celle des espagnols.
Fort de cette mauvaise expérience qui se renouvela au XVIII ème siècle, la France préféra débarquer à Sidi Ferruch, en 1830, au lieu d'Alger, de même que les Américains lors de la libération.
A l 'automne 1541, CHARLES QUINT lève une expédition , sous la direction du Génois, ANDRÉA DORIA, contre la REGENCE TURQUE. Elle est composée d' ESPAGNOLS, d'ITALIENS, de CHEVALIERS de MALTE, d'ALLEMANDS.
La flotte est composée de 516 VOILES, dont 65 GALÈRES et 451 BÂTIMENTS de TRANSPORT. Elle transporte 25.000 hommes de troupes de débarquement.
Le 19 octobre, les ESPAGNOLS arrivent devant ALGER.
Le 23 octobre, l' INFANTERIE débarque entre l'embouchure de l'HARRACH et la VILLE, sur la plage du HAMMA.
L'émissaire, envoyé par CHARLES QUINTà HASSAN AGHA, revient sans avoir obtenu la capitulation du souverain.
Le 25 octobre, toute la troupe débarque, ALGER est investie et l' EMPEREUR établit son quartier général près du MARABOUT de SIDI YACOUB, à KOUDIAT ES SABOUN (la colline du Savon) où fut élevé FORT l'EMPEREUR. La flotte bloque le port.
Le 25, dans l'après-midi, une tempête se lève et empêche le déchargement des subsistances et du matériel. Les soldats n'ont ni nourriture, ni tentes.
Un grand nombre de navires sont détruits.
Le 26 octobre, une TROUPE TURQUE, sort de la ville et enfonce les premiers postes mais elle doit se replier.
Une seconde tentative subit également un échec. La porte de BAB AZOUN se referme devant les attaquants. PONCE DE SAVIGNAC plante son poignard dans la porte.
La pluie, qui ne cesse de tomber, empêche l'utilisation des mousquets et transforme le sol en bourbier.
Le vent jette à la côte 140 navires et les équipages sont massacrés par les ARABES.
Privés de nourriture, les soldats tuent les chevaux pour les manger.
Le 28 octobre, CHARLES QUINT, conscient de sa défaite, bat en retraite avec le reste de son armée.
Le 30 octobre, la troupe arrive au CAP MATIFOU, où quelques navires se sont réfugiés.
Le départ se fait le 1er novembre.
La tempête reprend et la flotte doit faire relâche à BOUGIE. Là, les soldats sont accueillis par les KABYLES, alliés des ESPAGNOLS.
CHARLES QUINT ne regagne CARTHAGÈNE qu'à la fin du mois de novembre.
Ce qui était un avantage pour les corsaires d'Alger de l'époque qui pratiquait la Course fut, au contraire, un obstacle de taille pour une flotte de l'importance de celle des espagnols.
Fort de cette mauvaise expérience qui se renouvela au XVIII ème siècle, la France préféra débarquer à Sidi Ferruch, en 1830, au lieu d'Alger, de même que les Américains lors de la libération.
A l 'automne 1541, CHARLES QUINT lève une expédition , sous la direction du Génois, ANDRÉA DORIA, contre la REGENCE TURQUE. Elle est composée d' ESPAGNOLS, d'ITALIENS, de CHEVALIERS de MALTE, d'ALLEMANDS.
La flotte est composée de 516 VOILES, dont 65 GALÈRES et 451 BÂTIMENTS de TRANSPORT. Elle transporte 25.000 hommes de troupes de débarquement.
Le 19 octobre, les ESPAGNOLS arrivent devant ALGER.
Le 23 octobre, l' INFANTERIE débarque entre l'embouchure de l'HARRACH et la VILLE, sur la plage du HAMMA.
L'émissaire, envoyé par CHARLES QUINTà HASSAN AGHA, revient sans avoir obtenu la capitulation du souverain.
Le 25 octobre, toute la troupe débarque, ALGER est investie et l' EMPEREUR établit son quartier général près du MARABOUT de SIDI YACOUB, à KOUDIAT ES SABOUN (la colline du Savon) où fut élevé FORT l'EMPEREUR. La flotte bloque le port.
Le 25, dans l'après-midi, une tempête se lève et empêche le déchargement des subsistances et du matériel. Les soldats n'ont ni nourriture, ni tentes.
Un grand nombre de navires sont détruits.
Le 26 octobre, une TROUPE TURQUE, sort de la ville et enfonce les premiers postes mais elle doit se replier.
Une seconde tentative subit également un échec. La porte de BAB AZOUN se referme devant les attaquants. PONCE DE SAVIGNAC plante son poignard dans la porte.
La pluie, qui ne cesse de tomber, empêche l'utilisation des mousquets et transforme le sol en bourbier.
Le vent jette à la côte 140 navires et les équipages sont massacrés par les ARABES.
Privés de nourriture, les soldats tuent les chevaux pour les manger.
Le 28 octobre, CHARLES QUINT, conscient de sa défaite, bat en retraite avec le reste de son armée.
Le 30 octobre, la troupe arrive au CAP MATIFOU, où quelques navires se sont réfugiés.
Le départ se fait le 1er novembre.
La tempête reprend et la flotte doit faire relâche à BOUGIE. Là, les soldats sont accueillis par les KABYLES, alliés des ESPAGNOLS.
CHARLES QUINT ne regagne CARTHAGÈNE qu'à la fin du mois de novembre.
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