Les derniers développements dans le monde arabe nous démontrent à quel problème majeur Israël est confronté.Le problème d'Israël n'est ni les palestiniens, ni l'Egypte, ni la Syrie, ni même l'Iran, non! Le vrai problème d'Israël est la non-continuité de l'Etat dans aucun des Etats musulmans!
Comment Israël pourrait-il signer un traité de Paix avec quelque gouvernement arabe que ce soit, quand on sait très bien que cette signature serait "caduque" à la prochaine alternance à la tête de l'Etat. L'exemple récent de l'Egypte et de la Turquie ou l'exemple plus ancien de l'Iran montre à quel point ces signatures sont fragiles.
La confiance est le fondement de tout contrat, et la Paix est le plus important des contrats!
Les israéliens ont fait confiance aux égyptiens, ils ont restitué la totalité de la péninsule du Sinaï occupée en 1967, ils ont eu des rapports cordiaux, si ce n'est chaleureux, avec Sadate comme avec Moubarak, les israéliens étaient des touristes assidus de l'Egypte,... et pourtant! Il a suffi d'une alternance, légèrement teinté de Frères Musulmans, pour que tout cet édifice s'écroule.
De même les liens "privilégiés" économiques et militaires qu'Israël avait réussi à tisser au fil des années avec l'Iran du Chah puis la Turquie laïque ont volé en éclats avec l'arrivée d'islamistes fondamentalistes en Iran ou "modérés" en Turquie.
Dans ces conditions, comment demander aux Israéliens de faire confiance à ses voisins et d’établir avec eux des relations normales?
Comment exiger d'Israël qu'il accepte une reconnaissance unilatérale de l'Etat Palestinien alors qu'un accord assumé par les deux parties, et de surcroît garanti par les alliés d'Israël comme à Camp David peut être foulé aux pieds à la première occasion?N'oublions pas que la guerre des six jours (1967) a eu pour détonateur des circonstances similaires: la libre circulation dans le détroit de Tyran était la principale contrepartie au retrait israélien du Sinaï occupé en 1956. Cet accord était garanti par les Etats-Unis et l'O.N.U!
Il a suffi d'une décision unilatérale de Nasser pour que ce traité devienne un torchon de papier sans qu'aucun des "garants" n'ose intervenir.Alors, des Occidentaux aux abois, ayant perdu le sens de leurs valeurs et parfois même de leur dignité, appellent Israël à accepter le "diktat" palestinien avec comme seule contrepartie soit la "parole de l'autorité palestinienne", soit la parole des Etats-Unis ou de la France!Israël devrait faire confiance à un gouvernement croupion qui "tente de gouverner" la moitié d'un Etat, sur une moitié des terres de cet Etat, et qui, demain, lors d'élections tant de fois repoussées pourrait être dirigé par des islamistes fanatiques! Non, cela n'est vraiment pas sérieux!
Les médias nous assènent jour après jour les difficultés qui attendent Israël sans se rendre compte que ces difficultés sont déjà notre lot quotidien. Si la France, la Grande-Bretagne ou d'autres sont prêts à accepter la dilution de leur "identité", sans combattre pour les valeurs qui ont fait leur grandeur, libre à eux! Mais qu'ils n'exigent pas d'Israël d'accepter cette dhimmitude dont les juifs ont mis tant de siècles à se débarrasser.
La grandeur d'un Etat est ce qu'il inspire plus que ce qu'il est!Et, malgré ses défauts, Israël inspire notre admiration et notre respect. Ce qui n'est, malheureusement, plus le cas pour nombre de pays occidentaux!Pour toutes les raisons ci-dessus citées, et bien d'autres d'ailleurs qu'il serait fastidieux d'énumérer, nous appelons nos concitoyens, notre gouvernement et notre pays à refuser cette déclaration unilatérale d'Etat palestinien. Des parlementaires courageux, ne cédant pas à la facilité politicienne, ont décidé d'alerter notre Président sur les conséquences désastreuses d'un vote "pour cette reconnaissance", conséquences d'ailleurs beaucoup plus désastreuses pour les pays qui auraient renié tout ce qu'ils ont toujours déclaré que pour Israël, désormais habitué aux décisions ignominieuses de ce "machin" que l'on appelle ONU, caisse de résonnance de pays islamiques et de 140 dictatures.
Comment Israël pourrait-il signer un traité de Paix avec quelque gouvernement arabe que ce soit, quand on sait très bien que cette signature serait "caduque" à la prochaine alternance à la tête de l'Etat. L'exemple récent de l'Egypte et de la Turquie ou l'exemple plus ancien de l'Iran montre à quel point ces signatures sont fragiles.
La confiance est le fondement de tout contrat, et la Paix est le plus important des contrats!
Les israéliens ont fait confiance aux égyptiens, ils ont restitué la totalité de la péninsule du Sinaï occupée en 1967, ils ont eu des rapports cordiaux, si ce n'est chaleureux, avec Sadate comme avec Moubarak, les israéliens étaient des touristes assidus de l'Egypte,... et pourtant! Il a suffi d'une alternance, légèrement teinté de Frères Musulmans, pour que tout cet édifice s'écroule.
De même les liens "privilégiés" économiques et militaires qu'Israël avait réussi à tisser au fil des années avec l'Iran du Chah puis la Turquie laïque ont volé en éclats avec l'arrivée d'islamistes fondamentalistes en Iran ou "modérés" en Turquie.
Dans ces conditions, comment demander aux Israéliens de faire confiance à ses voisins et d’établir avec eux des relations normales?
Comment exiger d'Israël qu'il accepte une reconnaissance unilatérale de l'Etat Palestinien alors qu'un accord assumé par les deux parties, et de surcroît garanti par les alliés d'Israël comme à Camp David peut être foulé aux pieds à la première occasion?N'oublions pas que la guerre des six jours (1967) a eu pour détonateur des circonstances similaires: la libre circulation dans le détroit de Tyran était la principale contrepartie au retrait israélien du Sinaï occupé en 1956. Cet accord était garanti par les Etats-Unis et l'O.N.U!
Il a suffi d'une décision unilatérale de Nasser pour que ce traité devienne un torchon de papier sans qu'aucun des "garants" n'ose intervenir.Alors, des Occidentaux aux abois, ayant perdu le sens de leurs valeurs et parfois même de leur dignité, appellent Israël à accepter le "diktat" palestinien avec comme seule contrepartie soit la "parole de l'autorité palestinienne", soit la parole des Etats-Unis ou de la France!Israël devrait faire confiance à un gouvernement croupion qui "tente de gouverner" la moitié d'un Etat, sur une moitié des terres de cet Etat, et qui, demain, lors d'élections tant de fois repoussées pourrait être dirigé par des islamistes fanatiques! Non, cela n'est vraiment pas sérieux!
Les médias nous assènent jour après jour les difficultés qui attendent Israël sans se rendre compte que ces difficultés sont déjà notre lot quotidien. Si la France, la Grande-Bretagne ou d'autres sont prêts à accepter la dilution de leur "identité", sans combattre pour les valeurs qui ont fait leur grandeur, libre à eux! Mais qu'ils n'exigent pas d'Israël d'accepter cette dhimmitude dont les juifs ont mis tant de siècles à se débarrasser.
La grandeur d'un Etat est ce qu'il inspire plus que ce qu'il est!Et, malgré ses défauts, Israël inspire notre admiration et notre respect. Ce qui n'est, malheureusement, plus le cas pour nombre de pays occidentaux!Pour toutes les raisons ci-dessus citées, et bien d'autres d'ailleurs qu'il serait fastidieux d'énumérer, nous appelons nos concitoyens, notre gouvernement et notre pays à refuser cette déclaration unilatérale d'Etat palestinien. Des parlementaires courageux, ne cédant pas à la facilité politicienne, ont décidé d'alerter notre Président sur les conséquences désastreuses d'un vote "pour cette reconnaissance", conséquences d'ailleurs beaucoup plus désastreuses pour les pays qui auraient renié tout ce qu'ils ont toujours déclaré que pour Israël, désormais habitué aux décisions ignominieuses de ce "machin" que l'on appelle ONU, caisse de résonnance de pays islamiques et de 140 dictatures.
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