En 1962, la communauté juive algérienne était composée de 150 000 personnes environ. Ceux ci étaient constitué essentiellement de descendants de juifs ayant fuit le saccage de Jérusalem en 930 av. j.c, de juifs de l'Andalous ainsi qu’une minorité de juifs européens.
Au sein de la casbah, la population juive habitait la zone judéo-arabe composée de la haute et de la basse casbah ; celle-ci était délimité par les zones basses où habitaient les descendants espagnols et de la partie délimitée par la rue d’Isly où la majeur partie des français bourgeois résidaient.
De nombreuses synagogues servaient de lieu de culte à la communauté juive algéroise. La grande synagogue d’Alger, dite de la place du Grand Rabbin Bloch et la synagogue Samuel Lebar, rue de Dijon sont les plus connues.
La grande Synagogue de la place du Grand Rabbin Abraham Bloch fût construite dans la basse casbah en 1850 dans le prolongement de la rue Randon. Un prochain sujet sur ce grand Rabbin et sa conduite héroïque pendant la guerre sera évoqué.
De style mauresque, cet édifice présente un grand dôme central ; à l’intérieur c’est l’exigüité du lieu qui surprend par opposition la hauteur sous plafond qui donne une sensation d’élévation. De part et d’autre du carré sont fichés des escaliers en bois raides qui mènent à de petites niches qui telles des balcons sont décorées de belles balustrades en bois. Sur le parvis, la façade offre la vision d’une grande porte à deux colonnes ainsi que deux portes latérales.
D'autres temples d'Alger : Rue sainte, rue scipion, rue boutin, rue suffren et surtout celui de la rue Volland où mes parents se marièrent.
Bonjour,
RépondreSupprimersavez-vous si des archives de mariages des années 1950 ont pu être onservées ou sauvées ? Par avance merci pour votre réponse,
J. Pratt
Des détails sur la synagogue de la rue Boutin
RépondreSupprimerMerci
je n'en sais fichtre rien, désolé
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