Le débat sur le Halal, qui veut viser les musulmans en priorité est aussi une arme contre les Juifs. En visant l’interdiction entre autres de l’abattage rituel des musulmans, c’est aussi celui l’abattage rituel des juifs que l’on vise. A court terme la production de viande cacher pourrait être interdite.
De plus les médias ont tendance à mettre sur le même plan les deux pratiques alors qu’elles ont bien des différences. Les juifs et que ceci soit BIEN CLAIR ne peuvent en aucun cas consommer de la viande halal, et elle n’est en rien Cacher.
Si l’Islam à repris un certain nombre de lois juives en les adaptant à sa vision, ces adaptations ne concernent ABSOLUMENT pas les juifs.
Un « non juif » n’est pas tenu aux règles de la cacherout, il peut faire ce qu’il veut.
Quant aux Juifs si la nourriture est soumise à des interdits, c’est avant tout pour des considérations religieuses, spirituelles et philosophiques de très grande importance.
Un « non juif » n’est pas tenu aux règles de la cacherout, il peut faire ce qu’il veut.
Quant aux Juifs si la nourriture est soumise à des interdits, c’est avant tout pour des considérations religieuses, spirituelles et philosophiques de très grande importance.
La viande "cachir" ou "casher" est vendue EXCLUSIVEMENT dans les boucheries strictement identifiées par le BETH DIN, autorité religieuse unanimement reconnue.
L'autorité d'un Beth Din se réduit de nos jours au domaine que lui confère la législation du pays où il siège. Par exemple, le Beth Din n'a aucune reconnaissance officielle en France alors qu'il juge les affaires familiales en Israël.
Son rôle se réduit souvent à juger des affaires rituelles, telles que la Cacheroute, le Mikvé ou la Conversion au judaïsme. Malgré son absence de pouvoir coercitif, les Juifs religieux font normalement appel au Beth Din pour régler leurs litiges.
Le seul type de Beth Din en existence est la cour de trois juges. Depuis 2007, un groupe de rabbins sionistes religieux et hassidiques tente de recréer le grand Sanhédrin.
Un Beth Din est aujourd'hui constitué de trois rabbins dont l'un a reçu une formation rabbinique de juge appelée yadin yadin. Pour des affaires mineures, un simple rabbin peut s'entourer de deux Juifs religieux
L'autorité d'un Beth Din se réduit de nos jours au domaine que lui confère la législation du pays où il siège. Par exemple, le Beth Din n'a aucune reconnaissance officielle en France alors qu'il juge les affaires familiales en Israël.
Son rôle se réduit souvent à juger des affaires rituelles, telles que la Cacheroute, le Mikvé ou la Conversion au judaïsme. Malgré son absence de pouvoir coercitif, les Juifs religieux font normalement appel au Beth Din pour régler leurs litiges.
Le seul type de Beth Din en existence est la cour de trois juges. Depuis 2007, un groupe de rabbins sionistes religieux et hassidiques tente de recréer le grand Sanhédrin.
Un Beth Din est aujourd'hui constitué de trois rabbins dont l'un a reçu une formation rabbinique de juge appelée yadin yadin. Pour des affaires mineures, un simple rabbin peut s'entourer de deux Juifs religieux
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